Trop de fonctionnaires ?. Histoire d'une obsession française (XIX-XXIe siècle)
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages265
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.37 kg
- Dimensions13,6 cm × 21,5 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-213-72049-4
- EAN9782213720494
- Date de parution29/09/2021
- CollectionL'épreuve de l'histoire
- ÉditeurFayard
Résumé
En France, chaque campagne présidentielle charrie son lot de promesses de réductions massives du nombre de fonctionnaires. En avril 2021, la presse préparait ainsi le terrain de la prochaine course à l'Elysée. Le Figaro s'interrogeait : "Pourquoi le nombre de fonctionnaires ne baisse-t-il pas ? ", et Acteurs publics s'alarmait d'une "explosion des créations d'emplois à l'Etat" car la Cour des comptes constatait une hausse de...
0.1 % des effectifs en 2020. Cette préoccupation n'est pas neuve. De Saint-Just à Macron, en passant par Charles Maurras ou Jacques Duclos, tout le spectre politique a affirmé un jour que l'Etat emploie trop de fonctionnaires. Au fil de l'enquête historique, Emilien Ruiz examine les ressorts de cet unanimisme : le flou de la notion de "fonctionnaire", les conditions du développement de l'Etat, les idées reçues sur le statut, les obstacles à la féminisation et l'échec des politiques de baisse des effectifs.
Derrière les débats sur le nombre des fonctionnaires, cette histoire d'une obsession française révèle finalement un enjeu moins comptable que démocratique : celui du rôle que nous entendons, collectivement, assigner à l'Etat.
0.1 % des effectifs en 2020. Cette préoccupation n'est pas neuve. De Saint-Just à Macron, en passant par Charles Maurras ou Jacques Duclos, tout le spectre politique a affirmé un jour que l'Etat emploie trop de fonctionnaires. Au fil de l'enquête historique, Emilien Ruiz examine les ressorts de cet unanimisme : le flou de la notion de "fonctionnaire", les conditions du développement de l'Etat, les idées reçues sur le statut, les obstacles à la féminisation et l'échec des politiques de baisse des effectifs.
Derrière les débats sur le nombre des fonctionnaires, cette histoire d'une obsession française révèle finalement un enjeu moins comptable que démocratique : celui du rôle que nous entendons, collectivement, assigner à l'Etat.
En France, chaque campagne présidentielle charrie son lot de promesses de réductions massives du nombre de fonctionnaires. En avril 2021, la presse préparait ainsi le terrain de la prochaine course à l'Elysée. Le Figaro s'interrogeait : "Pourquoi le nombre de fonctionnaires ne baisse-t-il pas ? ", et Acteurs publics s'alarmait d'une "explosion des créations d'emplois à l'Etat" car la Cour des comptes constatait une hausse de...
0.1 % des effectifs en 2020. Cette préoccupation n'est pas neuve. De Saint-Just à Macron, en passant par Charles Maurras ou Jacques Duclos, tout le spectre politique a affirmé un jour que l'Etat emploie trop de fonctionnaires. Au fil de l'enquête historique, Emilien Ruiz examine les ressorts de cet unanimisme : le flou de la notion de "fonctionnaire", les conditions du développement de l'Etat, les idées reçues sur le statut, les obstacles à la féminisation et l'échec des politiques de baisse des effectifs.
Derrière les débats sur le nombre des fonctionnaires, cette histoire d'une obsession française révèle finalement un enjeu moins comptable que démocratique : celui du rôle que nous entendons, collectivement, assigner à l'Etat.
0.1 % des effectifs en 2020. Cette préoccupation n'est pas neuve. De Saint-Just à Macron, en passant par Charles Maurras ou Jacques Duclos, tout le spectre politique a affirmé un jour que l'Etat emploie trop de fonctionnaires. Au fil de l'enquête historique, Emilien Ruiz examine les ressorts de cet unanimisme : le flou de la notion de "fonctionnaire", les conditions du développement de l'Etat, les idées reçues sur le statut, les obstacles à la féminisation et l'échec des politiques de baisse des effectifs.
Derrière les débats sur le nombre des fonctionnaires, cette histoire d'une obsession française révèle finalement un enjeu moins comptable que démocratique : celui du rôle que nous entendons, collectivement, assigner à l'Etat.