Tranzit ; Comme un oiseau à l'aube ; Césariennes sous nos tropiques

Par : Gaëlle Bien-Aimé, Jocelyn Banga, Arsène Angelbert Ablo
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  • Nombre de pages168
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.21 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,4 cm
  • ISBN979-10-94898-98-7
  • EAN9791094898987
  • Date de parution11/11/2021
  • CollectionQuartiers intranquilles
  • ÉditeurPassage(s)
  • PréfacierThierry Blanc
  • PostfacierGustave Akakpo

Résumé

TRANZIT : Une file d'attente devant l'ambassade du Brésil bouge lentement. Lenteur qui s'apparente à l'état d'un pays stagné par la crise économique et l'instabilité politique. Au bout de cette file, les aspirants voyageurs rêvent de liberté pour un pays qu'ils veulent quitter absolument mais qu'ils aiment d'un amour insensé. D'autres ne partiront pas. D'autres regardent partir. D'autres se battront pour rester et y vivre, peut-être...
UN OISEAU A L'AUBE : Une femme seule face à la société, seule face à la nuit profonde, se parle à elle-même. Soumise à une récurrence de cas de violence conjugale, elle cherche, solitaire dans la nuit, une voie de sortie... CESARIENNES SOUS NOS TROPIQUES : Nos enfants du continent utilisent toute la symbolique de la traite négrière transatlantique, pour bafouer toute la mémoire de leurs ancêtres, enchainés et emmenés de force vers l'Occident, en s'enchaînant eux-mêmes et en payant leurs passages dans des conditions de morts vivants.
TRANZIT : Une file d'attente devant l'ambassade du Brésil bouge lentement. Lenteur qui s'apparente à l'état d'un pays stagné par la crise économique et l'instabilité politique. Au bout de cette file, les aspirants voyageurs rêvent de liberté pour un pays qu'ils veulent quitter absolument mais qu'ils aiment d'un amour insensé. D'autres ne partiront pas. D'autres regardent partir. D'autres se battront pour rester et y vivre, peut-être...
UN OISEAU A L'AUBE : Une femme seule face à la société, seule face à la nuit profonde, se parle à elle-même. Soumise à une récurrence de cas de violence conjugale, elle cherche, solitaire dans la nuit, une voie de sortie... CESARIENNES SOUS NOS TROPIQUES : Nos enfants du continent utilisent toute la symbolique de la traite négrière transatlantique, pour bafouer toute la mémoire de leurs ancêtres, enchainés et emmenés de force vers l'Occident, en s'enchaînant eux-mêmes et en payant leurs passages dans des conditions de morts vivants.