Traces de vie. De l'autre côté du récit et de la résilience
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- Nombre de pages187
- PrésentationBroché
- Poids0.267 kg
- Dimensions14,9 cm × 22,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-85008-937-4
- EAN9782850089374
- Date de parution14/06/2012
- CollectionComprendre les personnes
- ÉditeurChronique Sociale
- PréfacierBoris Cyrulnik
- PostfacierGaston Pineau
Résumé
Y aurait-il un "autre côté" au récit (de vie) et à la résilience ?? Issus de l'expérience et de l'étude de situations extrêmes - dans le désert au plan physique pour Eric Milet, dans la vie sociale au plan psychique pour Martine Lani-Bayle -, les croisements auxquels ils se sont livrés les ont conduits à proposer des hypothèses nouvelles sur ce que le récit versus l'antirécit, dont ils proposent une définition au fil de leurs échanges, peuvent susciter ou permettre en termes de résilience et, en écho, d'antirésilience.
Tout au long d'un cheminement dialogique métaphorique auquel ils nous font participer d'une manière spontanée, originale et vivante, ils détermineront deux types de réactivités réflexives différemment ancrées et encrées ? : tant dans les genres (entre racontage plutôt féminin et antiracontage, masculin), dans l'espace (entre nomadisme et sédentarité), que dans le temps (entre durée et instant). Une autre voie dans la conception du récit comme de la résilience.
Celle-ci ouvre des portes dans le monde de l'enseignement, de la recherche, du travail social et du soin, comme à tout citoyen soucieux de construire le futur en nourrissant sa vie dans la perspective d'une éco-anthropo-formation active.
Tout au long d'un cheminement dialogique métaphorique auquel ils nous font participer d'une manière spontanée, originale et vivante, ils détermineront deux types de réactivités réflexives différemment ancrées et encrées ? : tant dans les genres (entre racontage plutôt féminin et antiracontage, masculin), dans l'espace (entre nomadisme et sédentarité), que dans le temps (entre durée et instant). Une autre voie dans la conception du récit comme de la résilience.
Celle-ci ouvre des portes dans le monde de l'enseignement, de la recherche, du travail social et du soin, comme à tout citoyen soucieux de construire le futur en nourrissant sa vie dans la perspective d'une éco-anthropo-formation active.
Y aurait-il un "autre côté" au récit (de vie) et à la résilience ?? Issus de l'expérience et de l'étude de situations extrêmes - dans le désert au plan physique pour Eric Milet, dans la vie sociale au plan psychique pour Martine Lani-Bayle -, les croisements auxquels ils se sont livrés les ont conduits à proposer des hypothèses nouvelles sur ce que le récit versus l'antirécit, dont ils proposent une définition au fil de leurs échanges, peuvent susciter ou permettre en termes de résilience et, en écho, d'antirésilience.
Tout au long d'un cheminement dialogique métaphorique auquel ils nous font participer d'une manière spontanée, originale et vivante, ils détermineront deux types de réactivités réflexives différemment ancrées et encrées ? : tant dans les genres (entre racontage plutôt féminin et antiracontage, masculin), dans l'espace (entre nomadisme et sédentarité), que dans le temps (entre durée et instant). Une autre voie dans la conception du récit comme de la résilience.
Celle-ci ouvre des portes dans le monde de l'enseignement, de la recherche, du travail social et du soin, comme à tout citoyen soucieux de construire le futur en nourrissant sa vie dans la perspective d'une éco-anthropo-formation active.
Tout au long d'un cheminement dialogique métaphorique auquel ils nous font participer d'une manière spontanée, originale et vivante, ils détermineront deux types de réactivités réflexives différemment ancrées et encrées ? : tant dans les genres (entre racontage plutôt féminin et antiracontage, masculin), dans l'espace (entre nomadisme et sédentarité), que dans le temps (entre durée et instant). Une autre voie dans la conception du récit comme de la résilience.
Celle-ci ouvre des portes dans le monde de l'enseignement, de la recherche, du travail social et du soin, comme à tout citoyen soucieux de construire le futur en nourrissant sa vie dans la perspective d'une éco-anthropo-formation active.