Toutes Des Saintes
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.36 kg
- Dimensions14,5 cm × 22,5 cm × 2,0 cm
- ISBN2-226-13302-X
- EAN9782226133021
- Date de parution02/05/2002
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
Elles s'appellent Marthe, Agnès, Ursule, Thérèse, Véronique, Marie... Auréolées de vertu, elles ont
été l'objet d'une pieuse adoration : ce furent des saintes, toutes des saintes. Si elles descendent aujourd'hui de leur piédestal, pour partager la détresse de leurs sœurs. Comme sainte Anne qui vient en aide à une jeune mère célibataire contrainte d'accepter les avances de son patron libidineux. Ou sainte Agnès propulsée du ciel en plein cours d'éducation sexuelle pour inviter des jeunes filles éberluées à prendre du bon temps... Où est la vérité : les saintes ne sont-elles que de simples femmes ou les femmes sont-elles toutes des saintes ? Original, iconoclaste, hilarant, et loin de l'imagerie d'Epinal, le monde de Mary O'Connell doit autant à Madonna qu'à la Vierge Marie. Alléluia !
Elles s'appellent Marthe, Agnès, Ursule, Thérèse, Véronique, Marie... Auréolées de vertu, elles ont
été l'objet d'une pieuse adoration : ce furent des saintes, toutes des saintes. Si elles descendent aujourd'hui de leur piédestal, pour partager la détresse de leurs sœurs. Comme sainte Anne qui vient en aide à une jeune mère célibataire contrainte d'accepter les avances de son patron libidineux. Ou sainte Agnès propulsée du ciel en plein cours d'éducation sexuelle pour inviter des jeunes filles éberluées à prendre du bon temps... Où est la vérité : les saintes ne sont-elles que de simples femmes ou les femmes sont-elles toutes des saintes ? Original, iconoclaste, hilarant, et loin de l'imagerie d'Epinal, le monde de Mary O'Connell doit autant à Madonna qu'à la Vierge Marie. Alléluia !