Bucoliques grecs. Tome 1
Grand Format
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Toute l'idylle
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- Nombre de pages187
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.158 kg
- Dimensions11,5 cm × 16,5 cm × 1,7 cm
- ISBN2-7291-0610-3
- EAN9782729106102
- Date de parution01/02/1991
- CollectionOrphée
- ÉditeurLa Différence
- TraducteurMaurice Chappaz
- TraducteurEric Genevay
Résumé
Théocrite (IIIe s. avant J.-C.). Alexandre le Grand disparaît en 323 à Babylone et, une dizaine d'années plus tard, le plus précieux des poètes, qui alliera la terre et le ciel et annoncera Virgile, nait. La Pastorale, il l'a inventée dans sa musique et son réalisme. Le peuple chante, les bergers sont des maîtres de la flûte, et l'amour fait sourire et mourir. La jeunesse a l'inépuisable grâce mélancolique que l'on aperçoit, sauvée par les marbres, les bronzes de l'automne du monde antique.
L'ensemble des Idylles chante les mimes de la ville, les verdeurs paysannes, avec des éclats d'ironie, et une lumière comme venue du divin. Tout ce qui, de Ronsard à Giono, continue un rêve infini. Traduction par Maurice Chappaz (à qui l'on doit la présentation) et Eric Genevay.
L'ensemble des Idylles chante les mimes de la ville, les verdeurs paysannes, avec des éclats d'ironie, et une lumière comme venue du divin. Tout ce qui, de Ronsard à Giono, continue un rêve infini. Traduction par Maurice Chappaz (à qui l'on doit la présentation) et Eric Genevay.
Théocrite (IIIe s. avant J.-C.). Alexandre le Grand disparaît en 323 à Babylone et, une dizaine d'années plus tard, le plus précieux des poètes, qui alliera la terre et le ciel et annoncera Virgile, nait. La Pastorale, il l'a inventée dans sa musique et son réalisme. Le peuple chante, les bergers sont des maîtres de la flûte, et l'amour fait sourire et mourir. La jeunesse a l'inépuisable grâce mélancolique que l'on aperçoit, sauvée par les marbres, les bronzes de l'automne du monde antique.
L'ensemble des Idylles chante les mimes de la ville, les verdeurs paysannes, avec des éclats d'ironie, et une lumière comme venue du divin. Tout ce qui, de Ronsard à Giono, continue un rêve infini. Traduction par Maurice Chappaz (à qui l'on doit la présentation) et Eric Genevay.
L'ensemble des Idylles chante les mimes de la ville, les verdeurs paysannes, avec des éclats d'ironie, et une lumière comme venue du divin. Tout ce qui, de Ronsard à Giono, continue un rêve infini. Traduction par Maurice Chappaz (à qui l'on doit la présentation) et Eric Genevay.
