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Le livre fou de Toulouse
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- Nombre de pages224
- PrésentationRelié
- ISBN978-2-8177-1253-6
- EAN9782817712536
- Date de parution07/11/2025
- CollectionBeaux Livres Tourisme & Patrim
- ÉditeurSUD OUEST
Résumé
Il est question, dans ce beau livre superbement illustré, de toutes les bonnes raisons d'être fou de Toulouse : le Capitole, Nougaro, la violette, le Stade Toulousain, Jaurès, la brique, les bords de Garonne, la saucisse, Saint-Sernin, les soirées arrosées au pastis de Chez Tonton et la Cave Poésie. On peut citer aussi Airbus et Big Flo et Oli, la chercheuse Audrey Dussautour, devenue l'une des références mondiales du blob, la jeune championne du monde de parkour Lilou Ruel, le prix Nobel d'économie Jean Tirole, l'indispensable patron du Bikini, Hervé Sansonnetto ; Garcia, Samaran, Bacquié et autres descendants passionnés des familles ambassadrices de la gastronomie toulousaine.
Sans oublier les hôtels particuliers Renaissance, l'ancienne friche métamorphosée des Halles de la Cartoucherie, le plafond de la chapelle des Carmélites (" la Sixtine toulousaine "), les graffs historiques de la rue Gramat, la jeunesse épicurienne des nocturnes du marché Victor Hugo et celle qui refait le monde dans les tiers-lieux associatifs autogérés. Mais aussi le quinquina du Père Louis et le kéfir des friches gourmandes, le Rio Loco aux 70 000 festivaliers et les performances du micro-théâtre expérimental du Vent des Signes, les chansons de Zebda, des Fabulous Trobadors, des Femmouzes T, le Minotaure des Halles de la Machine et les gargouilles médiévales des Augustins.
Sera aussi évoquées la sophistication du Jardin Japonais et le bucolique du parc de la Poudrerie, les couloirs souterrains du métro dont le nom résonne en occitan et l'ouverture des nouvelles passerelles piétonnes de l'ile du Ramier, les cicatrices de l'histoire et des formidables élans de solidarité qui les ont pansées...
Sans oublier les hôtels particuliers Renaissance, l'ancienne friche métamorphosée des Halles de la Cartoucherie, le plafond de la chapelle des Carmélites (" la Sixtine toulousaine "), les graffs historiques de la rue Gramat, la jeunesse épicurienne des nocturnes du marché Victor Hugo et celle qui refait le monde dans les tiers-lieux associatifs autogérés. Mais aussi le quinquina du Père Louis et le kéfir des friches gourmandes, le Rio Loco aux 70 000 festivaliers et les performances du micro-théâtre expérimental du Vent des Signes, les chansons de Zebda, des Fabulous Trobadors, des Femmouzes T, le Minotaure des Halles de la Machine et les gargouilles médiévales des Augustins.
Sera aussi évoquées la sophistication du Jardin Japonais et le bucolique du parc de la Poudrerie, les couloirs souterrains du métro dont le nom résonne en occitan et l'ouverture des nouvelles passerelles piétonnes de l'ile du Ramier, les cicatrices de l'histoire et des formidables élans de solidarité qui les ont pansées...
Il est question, dans ce beau livre superbement illustré, de toutes les bonnes raisons d'être fou de Toulouse : le Capitole, Nougaro, la violette, le Stade Toulousain, Jaurès, la brique, les bords de Garonne, la saucisse, Saint-Sernin, les soirées arrosées au pastis de Chez Tonton et la Cave Poésie. On peut citer aussi Airbus et Big Flo et Oli, la chercheuse Audrey Dussautour, devenue l'une des références mondiales du blob, la jeune championne du monde de parkour Lilou Ruel, le prix Nobel d'économie Jean Tirole, l'indispensable patron du Bikini, Hervé Sansonnetto ; Garcia, Samaran, Bacquié et autres descendants passionnés des familles ambassadrices de la gastronomie toulousaine.
Sans oublier les hôtels particuliers Renaissance, l'ancienne friche métamorphosée des Halles de la Cartoucherie, le plafond de la chapelle des Carmélites (" la Sixtine toulousaine "), les graffs historiques de la rue Gramat, la jeunesse épicurienne des nocturnes du marché Victor Hugo et celle qui refait le monde dans les tiers-lieux associatifs autogérés. Mais aussi le quinquina du Père Louis et le kéfir des friches gourmandes, le Rio Loco aux 70 000 festivaliers et les performances du micro-théâtre expérimental du Vent des Signes, les chansons de Zebda, des Fabulous Trobadors, des Femmouzes T, le Minotaure des Halles de la Machine et les gargouilles médiévales des Augustins.
Sera aussi évoquées la sophistication du Jardin Japonais et le bucolique du parc de la Poudrerie, les couloirs souterrains du métro dont le nom résonne en occitan et l'ouverture des nouvelles passerelles piétonnes de l'ile du Ramier, les cicatrices de l'histoire et des formidables élans de solidarité qui les ont pansées...
Sans oublier les hôtels particuliers Renaissance, l'ancienne friche métamorphosée des Halles de la Cartoucherie, le plafond de la chapelle des Carmélites (" la Sixtine toulousaine "), les graffs historiques de la rue Gramat, la jeunesse épicurienne des nocturnes du marché Victor Hugo et celle qui refait le monde dans les tiers-lieux associatifs autogérés. Mais aussi le quinquina du Père Louis et le kéfir des friches gourmandes, le Rio Loco aux 70 000 festivaliers et les performances du micro-théâtre expérimental du Vent des Signes, les chansons de Zebda, des Fabulous Trobadors, des Femmouzes T, le Minotaure des Halles de la Machine et les gargouilles médiévales des Augustins.
Sera aussi évoquées la sophistication du Jardin Japonais et le bucolique du parc de la Poudrerie, les couloirs souterrains du métro dont le nom résonne en occitan et l'ouverture des nouvelles passerelles piétonnes de l'ile du Ramier, les cicatrices de l'histoire et des formidables élans de solidarité qui les ont pansées...