Théorie du drame moderne

Par : Peter Szondi

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  • Nombre de pages144
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.255 kg
  • Dimensions15,5 cm × 22,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-8251-3305-1
  • EAN9782825133057
  • Date de parution01/05/1983
  • CollectionThéâtre/Recherche
  • ÉditeurL'Age d'Homme
  • TraducteurPatrice Pavis
  • TraducteurJean Bollack
  • TraducteurMayotte Bollack

Résumé

La Théorie du drame moderne constitue une entreprise unique pour saisir dans leur ensemble les courants théâtraux entre 1880 et 1950. Epoque-charnière dans l'histoire du théâtre où beaucoup des expériences textuelles et dramaturgiques dont vit encore notre modernité furent mises à l'épreuve de la scène. En quelques phrases, Peter Szondi sait caractériser chaque système dramaturgique, en analyser les oeuvres-phares, situer chaque auteur dans le contexte de l'évolution des formes et des thèmes.
Il propose un étonnant "portrait de groupe" en comparant des dramaturgies aussi diverses que celles d'Ibsen, Tchékhov, Strindberg, Maeterlinck, Piscator, Brecht, Pirandello ou O'Neill. Cette théorie n'est pas une banale histoire du théâtre moderne qui se contenterait d'accumuler les faits sur les séries parallèles de l'évolution sociale et littéraire. Elle fonde une sociologie du drame qui combine une approche structurale des textes et une poétique historique.
Penser le théâtre moderne dans l'infinie diversité de ses manifestations et dans l'unité de sa recherche, tel n'est pas le moindre mérite de ce "classique" des études théâtrales.
La Théorie du drame moderne constitue une entreprise unique pour saisir dans leur ensemble les courants théâtraux entre 1880 et 1950. Epoque-charnière dans l'histoire du théâtre où beaucoup des expériences textuelles et dramaturgiques dont vit encore notre modernité furent mises à l'épreuve de la scène. En quelques phrases, Peter Szondi sait caractériser chaque système dramaturgique, en analyser les oeuvres-phares, situer chaque auteur dans le contexte de l'évolution des formes et des thèmes.
Il propose un étonnant "portrait de groupe" en comparant des dramaturgies aussi diverses que celles d'Ibsen, Tchékhov, Strindberg, Maeterlinck, Piscator, Brecht, Pirandello ou O'Neill. Cette théorie n'est pas une banale histoire du théâtre moderne qui se contenterait d'accumuler les faits sur les séries parallèles de l'évolution sociale et littéraire. Elle fonde une sociologie du drame qui combine une approche structurale des textes et une poétique historique.
Penser le théâtre moderne dans l'infinie diversité de ses manifestations et dans l'unité de sa recherche, tel n'est pas le moindre mérite de ce "classique" des études théâtrales.