Textes sur les symphonies de Beethoven

Par : Hector Berlioz

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  • Nombre de pages144
  • PrésentationBroché
  • Poids0.175 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-84764-020-7
  • EAN9782847640205
  • Date de parution08/03/2005
  • CollectionMusique
  • ÉditeurPage après Page

Résumé

Hector Berlioz (1803 -1869) ne s'est pas contenté d'être le plus grand compositeur de musique français, il a beaucoup écrit. " Fatalité ! Je deviens critique " s'écrie-t-il dans ses mémoires. À son retour de Rome en 1830, le jeune Berlioz à l'âme excessivement romantique comprend qu'il n'est pas mauvais - utile même - d'avoir une tribune d'où l'on peut orienter la vie musicale. C'est ainsi qu'il collabore à différents quotidiens. C'est au journal des Débats qu'il fait paraître sa tribune et avec lequel il collabore pendant trente ans. Les textes contenus dans l'ouvrage rendent compte des symphonies de Beethoven que Berlioz entend pour la première fois au Conservatoire sous la direction de Antoine-François Habeneck. Pour le jeune français, c'est une révélation. Une telle révélation qu'elle l'entraîne par excès à rejeter pendant des années des compositeurs tout aussi importants que le compositeur allemand. " Plus d'un siècle plus tard, écrit le célèbre critique musical J.-G. Prod'homme, ces pages que Berlioz écrivit sur l'immense Beethoven vivent par leur enthousiasme romantique, par leur sincérité, par leur langue, toujours classique et décèlent un véritable écrivain. " On ne peut rester insensible devant une telle profusion de talents, de savoir et d'intelligence pure exprimés avec simplicité. Eblouissant.
Hector Berlioz (1803 -1869) ne s'est pas contenté d'être le plus grand compositeur de musique français, il a beaucoup écrit. " Fatalité ! Je deviens critique " s'écrie-t-il dans ses mémoires. À son retour de Rome en 1830, le jeune Berlioz à l'âme excessivement romantique comprend qu'il n'est pas mauvais - utile même - d'avoir une tribune d'où l'on peut orienter la vie musicale. C'est ainsi qu'il collabore à différents quotidiens. C'est au journal des Débats qu'il fait paraître sa tribune et avec lequel il collabore pendant trente ans. Les textes contenus dans l'ouvrage rendent compte des symphonies de Beethoven que Berlioz entend pour la première fois au Conservatoire sous la direction de Antoine-François Habeneck. Pour le jeune français, c'est une révélation. Une telle révélation qu'elle l'entraîne par excès à rejeter pendant des années des compositeurs tout aussi importants que le compositeur allemand. " Plus d'un siècle plus tard, écrit le célèbre critique musical J.-G. Prod'homme, ces pages que Berlioz écrivit sur l'immense Beethoven vivent par leur enthousiasme romantique, par leur sincérité, par leur langue, toujours classique et décèlent un véritable écrivain. " On ne peut rester insensible devant une telle profusion de talents, de savoir et d'intelligence pure exprimés avec simplicité. Eblouissant.
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