Terra Nullius
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages263
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.325 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-35204-000-2
- EAN9782352040002
- Date de parution01/02/2007
- ÉditeurArènes (Editions Les)
- TraducteurHélène Hervieu
Résumé
Au cours du XIXe siècle, la population aborigène d'Australie a été décimée. Apparus dans le sillage des premiers colons, les " bienfaits de la civilisation " eurent tôt fait de provoquer leur extermination : maladies importées, villages rasés, sources taries par le bétail, populations déplacées ou massacrées... Confortés par le maître incontesté de la biologie de l'époque, Charles Darwin, qui professait que " dans une période future, les races civilisées de l'homme extermineront et remplaceront les races sauvages partout dans le monde ", nos aïeux estimèrent que les lois de la nature vouaient les Aborigènes et leur civilisation millénaire à l'extinction.
Sven Lindqvist a marché sur les traces de ces Européens ivres d'eux-mêmes. Puisant dans notre mémoire collective, il ressuscite les discours et théories qui, depuis le XIXe siècle, ont justifié une telle entreprise. D'un bout à l'autre de l'Australie, sous la forme d'un carnet de voyage, il exhume les vestiges de cette histoire sanglante. Une histoire qui se confond avec celle de la colonisation. Une histoire qui vit encore en nous.
Sven Lindqvist a marché sur les traces de ces Européens ivres d'eux-mêmes. Puisant dans notre mémoire collective, il ressuscite les discours et théories qui, depuis le XIXe siècle, ont justifié une telle entreprise. D'un bout à l'autre de l'Australie, sous la forme d'un carnet de voyage, il exhume les vestiges de cette histoire sanglante. Une histoire qui se confond avec celle de la colonisation. Une histoire qui vit encore en nous.
Au cours du XIXe siècle, la population aborigène d'Australie a été décimée. Apparus dans le sillage des premiers colons, les " bienfaits de la civilisation " eurent tôt fait de provoquer leur extermination : maladies importées, villages rasés, sources taries par le bétail, populations déplacées ou massacrées... Confortés par le maître incontesté de la biologie de l'époque, Charles Darwin, qui professait que " dans une période future, les races civilisées de l'homme extermineront et remplaceront les races sauvages partout dans le monde ", nos aïeux estimèrent que les lois de la nature vouaient les Aborigènes et leur civilisation millénaire à l'extinction.
Sven Lindqvist a marché sur les traces de ces Européens ivres d'eux-mêmes. Puisant dans notre mémoire collective, il ressuscite les discours et théories qui, depuis le XIXe siècle, ont justifié une telle entreprise. D'un bout à l'autre de l'Australie, sous la forme d'un carnet de voyage, il exhume les vestiges de cette histoire sanglante. Une histoire qui se confond avec celle de la colonisation. Une histoire qui vit encore en nous.
Sven Lindqvist a marché sur les traces de ces Européens ivres d'eux-mêmes. Puisant dans notre mémoire collective, il ressuscite les discours et théories qui, depuis le XIXe siècle, ont justifié une telle entreprise. D'un bout à l'autre de l'Australie, sous la forme d'un carnet de voyage, il exhume les vestiges de cette histoire sanglante. Une histoire qui se confond avec celle de la colonisation. Une histoire qui vit encore en nous.