Surtout, ne fermez pas la porte en sortant. Récits de violences managériales dans une école en travail social
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- Nombre de pages268
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.35 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,6 cm
- ISBN979-10-96697-08-3
- EAN9791096697083
- Date de parution15/12/2023
- ÉditeurDire Le Travail
Résumé
Jusqu'en 2014, c'est un institut de formation en travail social comme d'autres, où les professionnels s'activent pour adapter les formations aux évolutions règlementaires, organisationnelles, dans le souci des étudiants. Puis, dans les mois qui suivent l'arrivée d'un nouveau directeur, on compte plus d'une quarantaine de départs subis, conflictuels, douloureux. "Pédagogie, équipe, travail social, projets" sont des termes effacés du dictionnaire de l'institut, pour laisser place à "démarche qualité, bonne gouvernance" du côté de la direction, "licenciements, burn-out, inaptitude, faute grave" du côté des salariés.
Tout cela sous le regard impuissant des instances sociales, des tutelles, des partenaires de l'institut. Sept salarié·es, formateurs ou administratifs, ont décidé d'écrire pour raconter leur vécu, remettre du sens et du discernement dans cette histoire institutionnelle traumatisante, dénoncer la maltraitance de leur travail et l'impunité de ceux qui en ont été responsables, affirmer les valeurs d'attention aux autres et de soins des relations qui devraient être au coeur du travail social.
Postfaces de Philippe Gaberan et de Patrice Bride.
Tout cela sous le regard impuissant des instances sociales, des tutelles, des partenaires de l'institut. Sept salarié·es, formateurs ou administratifs, ont décidé d'écrire pour raconter leur vécu, remettre du sens et du discernement dans cette histoire institutionnelle traumatisante, dénoncer la maltraitance de leur travail et l'impunité de ceux qui en ont été responsables, affirmer les valeurs d'attention aux autres et de soins des relations qui devraient être au coeur du travail social.
Postfaces de Philippe Gaberan et de Patrice Bride.
Jusqu'en 2014, c'est un institut de formation en travail social comme d'autres, où les professionnels s'activent pour adapter les formations aux évolutions règlementaires, organisationnelles, dans le souci des étudiants. Puis, dans les mois qui suivent l'arrivée d'un nouveau directeur, on compte plus d'une quarantaine de départs subis, conflictuels, douloureux. "Pédagogie, équipe, travail social, projets" sont des termes effacés du dictionnaire de l'institut, pour laisser place à "démarche qualité, bonne gouvernance" du côté de la direction, "licenciements, burn-out, inaptitude, faute grave" du côté des salariés.
Tout cela sous le regard impuissant des instances sociales, des tutelles, des partenaires de l'institut. Sept salarié·es, formateurs ou administratifs, ont décidé d'écrire pour raconter leur vécu, remettre du sens et du discernement dans cette histoire institutionnelle traumatisante, dénoncer la maltraitance de leur travail et l'impunité de ceux qui en ont été responsables, affirmer les valeurs d'attention aux autres et de soins des relations qui devraient être au coeur du travail social.
Postfaces de Philippe Gaberan et de Patrice Bride.
Tout cela sous le regard impuissant des instances sociales, des tutelles, des partenaires de l'institut. Sept salarié·es, formateurs ou administratifs, ont décidé d'écrire pour raconter leur vécu, remettre du sens et du discernement dans cette histoire institutionnelle traumatisante, dénoncer la maltraitance de leur travail et l'impunité de ceux qui en ont été responsables, affirmer les valeurs d'attention aux autres et de soins des relations qui devraient être au coeur du travail social.
Postfaces de Philippe Gaberan et de Patrice Bride.