Les voyous et voleurs en tout genre ne m'ont jamais fascinés, même avec de grandes idées soutenant leur combat.
Pourtant, l'auteur de ce roman a réussi le tour de force de me faire aimer Bruno Sulak (dont j'ignorais jusqu'alors l'existence).
Alors certes, le récit est un peu difficile à suivre au départ du roman, car l'auteur tient absolument à présenter les enfances de tous les protagonistes. Puis, les choses sérieuses commencent.
Quel destin plein de chance que celui de Bruno (permettez que je l'appel Bruno), jusqu'à son retour en France, où la chance tourne. Ses amours, son amitié avec le commissaire Moréas (qui tient un blog).
L'auteur a même réussi à faire frémir mon petit coeur sensible à la fin de son roman sur le destin tragique de son héros.
Je me suis également régalée du style de l'auteur qui ne nous épargne aucune coïncidence : celles qui concernent les acteurs du drame, mais aussi celles qui concernent sa petite vie. C'est écrit avec fraîcheur et (presque) naïveté ; c'est plein de triples parenthèses. Bref, j'adore !
L'image que je retiendrai :
Celle du "casse" de la bijouterie Cartier à Cannes, car Bruno Sulak avait vu un briquet avec une panthère en pierres précieuses. Briquet qui n'est jamais réapparu à ce jour.
Les voyous et voleurs en tout genre ne m'ont jamais fascinés, même avec de grandes idées soutenant leur combat.
Pourtant, l'auteur de ce roman a réussi le tour de force de me faire aimer Bruno Sulak (dont j'ignorais jusqu'alors l'existence).
Alors certes, le récit est un peu difficile à suivre au départ du roman, car l'auteur tient absolument à présenter les enfances de tous les protagonistes. Puis, les choses sérieuses commencent.
Quel destin plein de chance que celui de Bruno (permettez que je l'appel Bruno), jusqu'à son retour en France, où la chance tourne. Ses amours, son amitié avec le commissaire Moréas (qui tient un blog).
L'auteur a même réussi à faire frémir mon petit coeur sensible à la fin de son roman sur le destin tragique de son héros.
Je me suis également régalée du style de l'auteur qui ne nous épargne aucune coïncidence : celles qui concernent les acteurs du drame, mais aussi celles qui concernent sa petite vie. C'est écrit avec fraîcheur et (presque) naïveté ; c'est plein de triples parenthèses. Bref, j'adore !
L'image que je retiendrai :
Celle du "casse" de la bijouterie Cartier à Cannes, car Bruno Sulak avait vu un briquet avec une panthère en pierres précieuses. Briquet qui n'est jamais réapparu à ce jour.