Successions et libéralités dans l'Iran mazdéen. Droit zoroastrien de la famille
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- Nombre de pages360
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.62 kg
- Dimensions15,7 cm × 24,1 cm × 3,2 cm
- ISBN978-2-343-21750-5
- EAN9782343217505
- Date de parution16/11/2020
- CollectionL'Iran en transition
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
A l'instar du droit romain, le droit successoral mazdéen distinguait les présomptions simples et irréfragables, connaissait la représentation successorale, la théorie des comourants, le droit d'accession, le rapport des libéralités ; en matière de règlement du passif, il appliquait la règle nemo liberalis nisi liberatus, permettait aux créanciers successoraux de bénéficier du privilège de la séparation des patrimoines, soumettait les cohéritiers débiteurs à une obligation in solidum ; en matière de droit de la filiation, il distinguait l'adoption simple de l'adoption plénière.
Enfin, la création de biens de mainmorte grâce aux fondations charitables (pad ahlawdad) et les substitutions fidéicommissaires (sturih) répondaient à la nécessité de conserver les biens de famille. Tout en décrivant exhaustivement le droit successoral mazdéen, cet ouvrage (le seul qui soit disponible sur ce sujet) établit de nombreux parallèles avec d'autres droits de l'Antiquité, ainsi qu'avec le droit français.
Enfin, la création de biens de mainmorte grâce aux fondations charitables (pad ahlawdad) et les substitutions fidéicommissaires (sturih) répondaient à la nécessité de conserver les biens de famille. Tout en décrivant exhaustivement le droit successoral mazdéen, cet ouvrage (le seul qui soit disponible sur ce sujet) établit de nombreux parallèles avec d'autres droits de l'Antiquité, ainsi qu'avec le droit français.
A l'instar du droit romain, le droit successoral mazdéen distinguait les présomptions simples et irréfragables, connaissait la représentation successorale, la théorie des comourants, le droit d'accession, le rapport des libéralités ; en matière de règlement du passif, il appliquait la règle nemo liberalis nisi liberatus, permettait aux créanciers successoraux de bénéficier du privilège de la séparation des patrimoines, soumettait les cohéritiers débiteurs à une obligation in solidum ; en matière de droit de la filiation, il distinguait l'adoption simple de l'adoption plénière.
Enfin, la création de biens de mainmorte grâce aux fondations charitables (pad ahlawdad) et les substitutions fidéicommissaires (sturih) répondaient à la nécessité de conserver les biens de famille. Tout en décrivant exhaustivement le droit successoral mazdéen, cet ouvrage (le seul qui soit disponible sur ce sujet) établit de nombreux parallèles avec d'autres droits de l'Antiquité, ainsi qu'avec le droit français.
Enfin, la création de biens de mainmorte grâce aux fondations charitables (pad ahlawdad) et les substitutions fidéicommissaires (sturih) répondaient à la nécessité de conserver les biens de famille. Tout en décrivant exhaustivement le droit successoral mazdéen, cet ouvrage (le seul qui soit disponible sur ce sujet) établit de nombreux parallèles avec d'autres droits de l'Antiquité, ainsi qu'avec le droit français.