Stalag IV C. Scènes de la vie quotidienne de prisonnier de guerre
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- Nombre de pages105
- PrésentationBroché
- Poids0.24 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,9 cm
- ISBN2-84608-156-5
- EAN9782846081566
- Date de parution10/05/2005
- ÉditeurE-dite
Résumé
Rares sont les témoignages sur la vie quotidienne des prisonniers pendant la Seconde guerre mondiale. Celui-ci en est un. On le doit à un peintre, Jean-Louis Merle, prisonnier de guerre au Stalag IV C situé à Brüx, aujourd'hui en République Tchèque. Pendant toute sa captivité, qui dura de juin 1940 à mai 1945, Jean-Louis Merle dessina, croqua, esquissa, peignit ce quotidien dont il était l'acteur et le témoin. L'anecdote, certes, y a sa place, mais également les manques, le désespoir et les espoirs. Le sentiment de solitude, aussi, malgré la promiscuité. Et puis l'éloignement, la souffrance, l'absurde. Son fils, l'écrivain Pierre Merle, a retrouvé environ soixante dix dessins, gouaches et aquarelles de ces " scènes de la vie de Bohème " comme aimait, avec ironie, les appeler son père. Il les a regroupés dans ce livre, et y a joint ces autres anecdotes sur la vie du camp que son père, aujourd'hui décédé, lui racontait parfois, de manière informelle, au cours d'un repas ou d'une balade. C'est le regard de ce peintre sur le stalag que l'on va découvrir ici, alors qu'on célèbre le soixantième anniversaire de la capitulation de l'Allemagne nazie.
Rares sont les témoignages sur la vie quotidienne des prisonniers pendant la Seconde guerre mondiale. Celui-ci en est un. On le doit à un peintre, Jean-Louis Merle, prisonnier de guerre au Stalag IV C situé à Brüx, aujourd'hui en République Tchèque. Pendant toute sa captivité, qui dura de juin 1940 à mai 1945, Jean-Louis Merle dessina, croqua, esquissa, peignit ce quotidien dont il était l'acteur et le témoin. L'anecdote, certes, y a sa place, mais également les manques, le désespoir et les espoirs. Le sentiment de solitude, aussi, malgré la promiscuité. Et puis l'éloignement, la souffrance, l'absurde. Son fils, l'écrivain Pierre Merle, a retrouvé environ soixante dix dessins, gouaches et aquarelles de ces " scènes de la vie de Bohème " comme aimait, avec ironie, les appeler son père. Il les a regroupés dans ce livre, et y a joint ces autres anecdotes sur la vie du camp que son père, aujourd'hui décédé, lui racontait parfois, de manière informelle, au cours d'un repas ou d'une balade. C'est le regard de ce peintre sur le stalag que l'on va découvrir ici, alors qu'on célèbre le soixantième anniversaire de la capitulation de l'Allemagne nazie.