Souvenirs de guerre du lieutenant Martin. 1812-1815
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- Nombre de pages332
- PrésentationBroché
- Poids0.49 kg
- Dimensions14,5 cm × 21,5 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-84734-453-0
- EAN9782847344530
- Date de parution20/09/2007
- CollectionBibliothèque napoléonienne
- ÉditeurTallandier
Résumé
Il n'avait pas dix-huit ans, n'était pas Français mais appartenait toutefois au Grand Empire voulu par Napoléon ; il rêvait de voyage et d'aventures. Avec toute la vitalité de la jeunesse et dans l'ambiance survoltée de la geste napoléonienne, Jacques-François Martin, citoyen suisse, se voyait devenir maréchal de France lors-qu'il franchit le portail de Saint-Cyr un matin d'août 1812. Un rêve vite rattrapé par une dure réalité : formation vite expédiée, arrivée en régiment après la débâcle de Russie, premières marches, bivouac, l'ennemi enfin... Et la guerre qui surgit dans toute son horreur. Après les combats, il faut encore souffrir sans garantie de soins si l'on est blessé et, pour certains, dépouiller les morts si l'on est indemne. Le typhus ajoute aux malheurs et à la vulnérabilité de la troupe. Vient ensuite Leipzig, la retraite vers la France, les Cent-Jours puis Waterloo où il est blessé. De la victoire à la défaite, la marge est étroite, et une troupe passe vite de l'assaut enthousiaste à la débandade irrépressible. A cette occasion, Martin livre une description du combat plus juste et représentative, dans sa brutalité et sa confusion, que les actes héroïques souvent ressassés. Devenu pasteur et professeur à Genève, l'ancien lieutenant Martin s'est souvenu de cette flambée guerrière qui avait failli l'emporter. Ses pages sont parmi les plus belles jamais écrites sur l'épopée napoléonienne...
Il n'avait pas dix-huit ans, n'était pas Français mais appartenait toutefois au Grand Empire voulu par Napoléon ; il rêvait de voyage et d'aventures. Avec toute la vitalité de la jeunesse et dans l'ambiance survoltée de la geste napoléonienne, Jacques-François Martin, citoyen suisse, se voyait devenir maréchal de France lors-qu'il franchit le portail de Saint-Cyr un matin d'août 1812. Un rêve vite rattrapé par une dure réalité : formation vite expédiée, arrivée en régiment après la débâcle de Russie, premières marches, bivouac, l'ennemi enfin... Et la guerre qui surgit dans toute son horreur. Après les combats, il faut encore souffrir sans garantie de soins si l'on est blessé et, pour certains, dépouiller les morts si l'on est indemne. Le typhus ajoute aux malheurs et à la vulnérabilité de la troupe. Vient ensuite Leipzig, la retraite vers la France, les Cent-Jours puis Waterloo où il est blessé. De la victoire à la défaite, la marge est étroite, et une troupe passe vite de l'assaut enthousiaste à la débandade irrépressible. A cette occasion, Martin livre une description du combat plus juste et représentative, dans sa brutalité et sa confusion, que les actes héroïques souvent ressassés. Devenu pasteur et professeur à Genève, l'ancien lieutenant Martin s'est souvenu de cette flambée guerrière qui avait failli l'emporter. Ses pages sont parmi les plus belles jamais écrites sur l'épopée napoléonienne...