Souvenirs de campagne du sergent Faucheur. Fourrier dans la Grande armée
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- Nombre de pages367
- PrésentationBroché
- Poids0.475 kg
- Dimensions14,6 cm × 22,1 cm × 3,0 cm
- ISBN2-84734-167-6
- EAN9782847341676
- Date de parution07/05/2004
- CollectionBibliothèque napoléonienne
- ÉditeurTallandier
- PréfacierJacques Jourquin
Résumé
" Mon capitaine (...) venait de recommander à nos hommes de ne tirer sur la cavalerie qu'à son commandement, lorsqu'un obus vint lui enlever le derrière de la tête et me couvrit de sang. L'obus, poursuivant son chemin (...), vint tomber dans le carré et enlever un pied au tambour maître. Nous attendîmes la charge sans broncher... " Leipzig, 1813. Le jeune Narcisse Faucheur a rejoint l'armée impériale l'année précédente. Sergent fourrier chargé du cantonnement des troupes et des approvisionnements, nous le trouvons ici plongé au cœur des combats de la campagne de Prusse. Mais les Souvenirs de Faucheur sont bien plus qu'un simple récit de batailles. Rarement on a raconté comme lui l'arrivée à la caserne, le bivouac, les marches épuisantes à travers l'Europe et les hôpitaux militaires, mouroirs où le typhus tue plus sûrement que les balles. Rarement on a fait vivre comme lui le quotidien des soldats avec leurs habitudes et leurs expressions, autant d'anecdotes pittoresques qui font le sel de ce document. Rarement, enfin, on a décrit avec tant de justesse le dénuement des soldats démobilisés à la chute de Napoléon. La paix revenue, Faucheur s'installe à Lille, s'y marie, se lance dans une " carrière commerciale ", et c'est le destin d'un industriel textile du Nord qui prend le pas sur la vie militaire...
" Mon capitaine (...) venait de recommander à nos hommes de ne tirer sur la cavalerie qu'à son commandement, lorsqu'un obus vint lui enlever le derrière de la tête et me couvrit de sang. L'obus, poursuivant son chemin (...), vint tomber dans le carré et enlever un pied au tambour maître. Nous attendîmes la charge sans broncher... " Leipzig, 1813. Le jeune Narcisse Faucheur a rejoint l'armée impériale l'année précédente. Sergent fourrier chargé du cantonnement des troupes et des approvisionnements, nous le trouvons ici plongé au cœur des combats de la campagne de Prusse. Mais les Souvenirs de Faucheur sont bien plus qu'un simple récit de batailles. Rarement on a raconté comme lui l'arrivée à la caserne, le bivouac, les marches épuisantes à travers l'Europe et les hôpitaux militaires, mouroirs où le typhus tue plus sûrement que les balles. Rarement on a fait vivre comme lui le quotidien des soldats avec leurs habitudes et leurs expressions, autant d'anecdotes pittoresques qui font le sel de ce document. Rarement, enfin, on a décrit avec tant de justesse le dénuement des soldats démobilisés à la chute de Napoléon. La paix revenue, Faucheur s'installe à Lille, s'y marie, se lance dans une " carrière commerciale ", et c'est le destin d'un industriel textile du Nord qui prend le pas sur la vie militaire...