Sous le signe de la perception : sémiotique et perception. Actes du colloque de l'Association Suisse de Sémiotique du 27 avril 2001 à l'Université de Fribourg

Par : Laurent Rossier
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  • Nombre de pages177
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.24 kg
  • Dimensions14,5 cm × 22,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN3-03910-092-0
  • EAN9783039100927
  • Date de parution01/01/2003
  • CollectionTextanalyse in Universität und
  • ÉditeurPeter Lang

Résumé

Pour le psychologue, la perception fait partie de ces processus "internes" qui révèlent la manière "informante" dont l'esprit construit son réel. Pour le sémioticien, loin d'être l'apanage du for intérieur de l'individu générique, la perception est le fruit d'activités interactives et subjectives de médiations de significations. L'Association Suisse de Sémiotique avait invité en avril 2001 un groupe de spécialistes d'horizons divers à venir confronter leurs objets d'études, ayant tous trait à l'usage des signes.
Cette rencontre permit d'apercevoir la tâche qui incomberait à chacun pour jeter des passerelles entre ses conceptions et celles des autres, en même temps que l'intérêt à concevoir cet entre-deux. Le psychologue ne parle-t-il vraiment plus des systèmes psychologiques comme de machines ? Le sémioticien pourrait-il alors s'appuyer sur son investigation du processus perceptif pour y fonder une sémiotique ? Des deux côtés, on lira à ce sujet des questionnements pessimistes et optimistes.
Pour le psychologue, la perception fait partie de ces processus "internes" qui révèlent la manière "informante" dont l'esprit construit son réel. Pour le sémioticien, loin d'être l'apanage du for intérieur de l'individu générique, la perception est le fruit d'activités interactives et subjectives de médiations de significations. L'Association Suisse de Sémiotique avait invité en avril 2001 un groupe de spécialistes d'horizons divers à venir confronter leurs objets d'études, ayant tous trait à l'usage des signes.
Cette rencontre permit d'apercevoir la tâche qui incomberait à chacun pour jeter des passerelles entre ses conceptions et celles des autres, en même temps que l'intérêt à concevoir cet entre-deux. Le psychologue ne parle-t-il vraiment plus des systèmes psychologiques comme de machines ? Le sémioticien pourrait-il alors s'appuyer sur son investigation du processus perceptif pour y fonder une sémiotique ? Des deux côtés, on lira à ce sujet des questionnements pessimistes et optimistes.