Somaliland, pays en quarantaine
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- Nombre de pages202
- PrésentationBroché
- Poids0.285 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-8111-1176-2
- EAN9782811111762
- Date de parution01/05/2014
- ÉditeurKarthala
Résumé
Il existe une Somalie paisible qui ne retient pas l'attention permanente : le Somaliland. Décidé à ne plus subir les désordres d'un système violent et prédateur, ce pays a repris son indépendance en 1991. Mais il n'est pas reconnu officiellement. Depuis vingt-trois ans il est littéralement mis à l'écart de la "communauté internationale". Pourtant l'Etat du Somaliland est plus légitime que certains Etats africains reconnus.
Devenu indépendant en 1960, il s'était uni volontairement à la Somalie, ancienne colonie italienne, choix qu'il devait regretter rapidement. Ministre des Affaires étrangères du Somaliland de 2003 à 2006, Edna Adan Isma'il, s'est efforcée de faire reconnaître l'étrange et scandaleuse situation que connaît son pays. Elle disait : " Nous payons le prix fort parce que nous sommes pacifiques. Il n'y pas de troupes internationales pour maintenir la paix au Somaliland.
On n'enlève pas d'étrangers chez nous. Nous sommes juste un pays très ennuyeux qui vit son quotidien, rebâtir. " En 2005 l'Union africaine a admis que la demande de reconnaissance du Somaliland était justifiée. Mais le pays reste en quarantaine, victime d'une diplomatie internationale sans principes.
Devenu indépendant en 1960, il s'était uni volontairement à la Somalie, ancienne colonie italienne, choix qu'il devait regretter rapidement. Ministre des Affaires étrangères du Somaliland de 2003 à 2006, Edna Adan Isma'il, s'est efforcée de faire reconnaître l'étrange et scandaleuse situation que connaît son pays. Elle disait : " Nous payons le prix fort parce que nous sommes pacifiques. Il n'y pas de troupes internationales pour maintenir la paix au Somaliland.
On n'enlève pas d'étrangers chez nous. Nous sommes juste un pays très ennuyeux qui vit son quotidien, rebâtir. " En 2005 l'Union africaine a admis que la demande de reconnaissance du Somaliland était justifiée. Mais le pays reste en quarantaine, victime d'une diplomatie internationale sans principes.
Il existe une Somalie paisible qui ne retient pas l'attention permanente : le Somaliland. Décidé à ne plus subir les désordres d'un système violent et prédateur, ce pays a repris son indépendance en 1991. Mais il n'est pas reconnu officiellement. Depuis vingt-trois ans il est littéralement mis à l'écart de la "communauté internationale". Pourtant l'Etat du Somaliland est plus légitime que certains Etats africains reconnus.
Devenu indépendant en 1960, il s'était uni volontairement à la Somalie, ancienne colonie italienne, choix qu'il devait regretter rapidement. Ministre des Affaires étrangères du Somaliland de 2003 à 2006, Edna Adan Isma'il, s'est efforcée de faire reconnaître l'étrange et scandaleuse situation que connaît son pays. Elle disait : " Nous payons le prix fort parce que nous sommes pacifiques. Il n'y pas de troupes internationales pour maintenir la paix au Somaliland.
On n'enlève pas d'étrangers chez nous. Nous sommes juste un pays très ennuyeux qui vit son quotidien, rebâtir. " En 2005 l'Union africaine a admis que la demande de reconnaissance du Somaliland était justifiée. Mais le pays reste en quarantaine, victime d'une diplomatie internationale sans principes.
Devenu indépendant en 1960, il s'était uni volontairement à la Somalie, ancienne colonie italienne, choix qu'il devait regretter rapidement. Ministre des Affaires étrangères du Somaliland de 2003 à 2006, Edna Adan Isma'il, s'est efforcée de faire reconnaître l'étrange et scandaleuse situation que connaît son pays. Elle disait : " Nous payons le prix fort parce que nous sommes pacifiques. Il n'y pas de troupes internationales pour maintenir la paix au Somaliland.
On n'enlève pas d'étrangers chez nous. Nous sommes juste un pays très ennuyeux qui vit son quotidien, rebâtir. " En 2005 l'Union africaine a admis que la demande de reconnaissance du Somaliland était justifiée. Mais le pays reste en quarantaine, victime d'une diplomatie internationale sans principes.