Sociologie Du Risque
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- Nombre de pages286
- PrésentationBroché
- Poids0.565 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
- ISBN2-200-26116-0
- EAN9782200261160
- Date de parution28/11/2000
- CollectionU Sociologie
- ÉditeurArmand Colin
Résumé
La notion de risque a aujourd'hui fait fortune. Remontant au XIVe siècle, le mot est à présent utilisé pour désigner des phénomènes aussi disparates que les OGM, la vache folle, la radioactivité autour de La Hague, le sida ou les accidents de la route... Le risque, devenu social, technologique, écologique, sanitaire, a son vocabulaire : majeur ou diffus, choisi ou subi, maîtrisé ou " managé " ; et ses professionnels : ingénieurs, mais aussi économistes, psychologues et sociologues. Pour certains d'entre eux, là réside l'originalité des sociétés contemporaines, qui seraient des " sociétés du risque ".
L'ouvrage, qui retrace l'émergence de la notion, s'interroge sur la construction contemporaine du risque : Est-il aussi moderne qu'on le dit ? La perception des risques échappe-t-elle aux influences sociales et culturelles ? Evidemment non. Toutefois, si les inquiétudes du public ne se calquent pas sur celles des experts (qu'il s'agisse du nucléaire ou de la vache folle, par exemple), elles n'en sont pas pour autant irrationnelles. Ainsi, l'auteur souligne la rationalité propre aux perceptions et aux comportements individuels, et, en retour, interroge les catégorisations " objectives " des experts, qui désignent des comportements et des groupes " à risques ".
La notion de risque a aujourd'hui fait fortune. Remontant au XIVe siècle, le mot est à présent utilisé pour désigner des phénomènes aussi disparates que les OGM, la vache folle, la radioactivité autour de La Hague, le sida ou les accidents de la route... Le risque, devenu social, technologique, écologique, sanitaire, a son vocabulaire : majeur ou diffus, choisi ou subi, maîtrisé ou " managé " ; et ses professionnels : ingénieurs, mais aussi économistes, psychologues et sociologues. Pour certains d'entre eux, là réside l'originalité des sociétés contemporaines, qui seraient des " sociétés du risque ".
L'ouvrage, qui retrace l'émergence de la notion, s'interroge sur la construction contemporaine du risque : Est-il aussi moderne qu'on le dit ? La perception des risques échappe-t-elle aux influences sociales et culturelles ? Evidemment non. Toutefois, si les inquiétudes du public ne se calquent pas sur celles des experts (qu'il s'agisse du nucléaire ou de la vache folle, par exemple), elles n'en sont pas pour autant irrationnelles. Ainsi, l'auteur souligne la rationalité propre aux perceptions et aux comportements individuels, et, en retour, interroge les catégorisations " objectives " des experts, qui désignent des comportements et des groupes " à risques ".