Signes et rituels magiques des femmes kabyles
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- Nombre de pages207
- PrésentationBroché
- Poids0.395 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-8111-0524-2
- EAN9782811105242
- Date de parution25/10/2011
- ÉditeurKarthala
- PréfacierCamille Lacoste-Dujardin
Résumé
Dans la société berbère, contrairement à ce que l'on croit trop
souvent, les femmes se sentent parfaitement libres dans leur
condition de femme, qui leur confère sur le groupe familial un
privilège sans égal. Universitaire impliquée dans la recherche
sur l'histoire des femmes et kabyle déterminée à inscrire la
culture berbère dans la cosmogonie et les valeurs léguées par
une des plus anciennes civilisations, Makilam s'attache à
démontrer comment les pratiques magiques, symboles
graphiques et rites de passage, qui ne se transmettent que par
les femmes, autorisent d'autres interprétations de l'identité
culturelle de la femme berbère que celles qui, entre silence et
isolement, lui sont généralement attribuées par l'observateur
occidental.
Après avoir été initiée à l'écriture ésotérique des femmes telles qu'elle s'exprime notamment sur les poteries, tissages, tatouages et peintures murales, Makilam propose donc, aux sources de la pensée kabyle, une vision totalement renouvelée de la grammaire symbolique des "décors" caractéristiques de la culture matérielle des Berbères et de la dimension magique qui préside à chacune des activités quotidiennes de la femme.
Au-delà d'une belle contribution aux savoirs sur les cultures maghrébines et sur la partition que les femmes y ont tenue, ce parcours initiatique conduit donc à reconsidérer la signification de l'existence terrestre et le sens de l'organisation sociale dans les sociétés dites "traditionnelles".
Après avoir été initiée à l'écriture ésotérique des femmes telles qu'elle s'exprime notamment sur les poteries, tissages, tatouages et peintures murales, Makilam propose donc, aux sources de la pensée kabyle, une vision totalement renouvelée de la grammaire symbolique des "décors" caractéristiques de la culture matérielle des Berbères et de la dimension magique qui préside à chacune des activités quotidiennes de la femme.
Au-delà d'une belle contribution aux savoirs sur les cultures maghrébines et sur la partition que les femmes y ont tenue, ce parcours initiatique conduit donc à reconsidérer la signification de l'existence terrestre et le sens de l'organisation sociale dans les sociétés dites "traditionnelles".
Dans la société berbère, contrairement à ce que l'on croit trop
souvent, les femmes se sentent parfaitement libres dans leur
condition de femme, qui leur confère sur le groupe familial un
privilège sans égal. Universitaire impliquée dans la recherche
sur l'histoire des femmes et kabyle déterminée à inscrire la
culture berbère dans la cosmogonie et les valeurs léguées par
une des plus anciennes civilisations, Makilam s'attache à
démontrer comment les pratiques magiques, symboles
graphiques et rites de passage, qui ne se transmettent que par
les femmes, autorisent d'autres interprétations de l'identité
culturelle de la femme berbère que celles qui, entre silence et
isolement, lui sont généralement attribuées par l'observateur
occidental.
Après avoir été initiée à l'écriture ésotérique des femmes telles qu'elle s'exprime notamment sur les poteries, tissages, tatouages et peintures murales, Makilam propose donc, aux sources de la pensée kabyle, une vision totalement renouvelée de la grammaire symbolique des "décors" caractéristiques de la culture matérielle des Berbères et de la dimension magique qui préside à chacune des activités quotidiennes de la femme.
Au-delà d'une belle contribution aux savoirs sur les cultures maghrébines et sur la partition que les femmes y ont tenue, ce parcours initiatique conduit donc à reconsidérer la signification de l'existence terrestre et le sens de l'organisation sociale dans les sociétés dites "traditionnelles".
Après avoir été initiée à l'écriture ésotérique des femmes telles qu'elle s'exprime notamment sur les poteries, tissages, tatouages et peintures murales, Makilam propose donc, aux sources de la pensée kabyle, une vision totalement renouvelée de la grammaire symbolique des "décors" caractéristiques de la culture matérielle des Berbères et de la dimension magique qui préside à chacune des activités quotidiennes de la femme.
Au-delà d'une belle contribution aux savoirs sur les cultures maghrébines et sur la partition que les femmes y ont tenue, ce parcours initiatique conduit donc à reconsidérer la signification de l'existence terrestre et le sens de l'organisation sociale dans les sociétés dites "traditionnelles".