Comment mieux toucher du doigt le côté dérisoire de la vie qu'en imaginant sa fin définitive, brutale, imminente, pour l'ensemble d'une communauté, ville ou pays?
Que deviendraient les préoccupations des uns et des autres, leurs priorités?
L'ordre établi résisterait-t-il?
L'amour et la compassion l'emporteraient-t-ils sur la violence et le désespoir?
Dans ce récit choral dense et assez bien mené pour un premier roman, l'auteur nous livre son point de vue à travers le prisme de ses quatre personnages, Peter, Elisa, Andy, et Anita, chacun rejoint par une réalité qui le dépasse et le pousse au bout de lui même, avec sa personnalité, sa sensibilité, sa propre attente...
C'est bien écrit, assez sobre, avec une profondeur de vue qui m'a heureusement surprise, et ou l'auteur se réserve le droit de ne pas tomber dans l'édulcoré...
Intéressant.
Comment mieux toucher du doigt le côté dérisoire de la vie qu'en imaginant sa fin définitive, brutale, imminente, pour l'ensemble d'une communauté, ville ou pays?
Que deviendraient les préoccupations des uns et des autres, leurs priorités?
L'ordre établi résisterait-t-il?
L'amour et la compassion l'emporteraient-t-ils sur la violence et le désespoir?
Dans ce récit choral dense et assez bien mené pour un premier roman, l'auteur nous livre son point de vue à travers le prisme de ses quatre personnages, Peter, Elisa, Andy, et Anita, chacun rejoint par une réalité qui le dépasse et le pousse au bout de lui même, avec sa personnalité, sa sensibilité, sa propre attente...
C'est bien écrit, assez sobre, avec une profondeur de vue qui m'a heureusement surprise, et ou l'auteur se réserve le droit de ne pas tomber dans l'édulcoré...
Intéressant.