Seville...

Par : Rodrigo de Zayas

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  • Nombre de pages183
  • PrésentationBroché
  • Poids0.275 kg
  • Dimensions14,0 cm × 19,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-84049-141-9
  • EAN9782840491415
  • Date de parution01/09/1998
  • Collectionracines
  • ÉditeurSéguier

Résumé

" Qu'est-ce que Séville ? Don Ramon avait conclu que Séville était la femme. Étonné par cette réponse étrange, le modérateur avait demandé : Pourquoi ? Question difficile, comme tout ce qui concerne la Femme, répondit très sérieusement le vieux professeur. Pour y répondre, il me vient à l'esprit une métaphore : savez-vous que les rues de Séville, du vieux Séville s'entend, suivent toutes une ligne courbe ? " Rodrigo de Zayas, gentilhomme sévillan, polyglotte, érudit et bourlingueur, est un grand d'Espagne. Dans un style brillant et enlevé, il décline sa ville sur le ton de la confession. Pour qui aime Séville (et qui ne peut l'aimer ?) c'est le bonheur, le vrai, celui dont on garde une petite musique au fond de soi. De Curro Romero, à la semaine sainte, en passant par la musique et la rue, tout est là. Les amoureux de cette ville magique reconnaîtront par petites touches leur Séville. Pourtant, comme le dit l'auteur lui-même " comment... montrer, comment... démontrer ? " Laissez-vous guider, fermez les yeux et écoutez : " Inondée de lumière orangée, méticuleusement rythmée, la rue s'anime. En face, Joaquin soulève péniblement le store de son café. La tôle ondulée s'enroule avec fracas, abasourdissant le demi-silence du matin qui s'ébroue. " C'est parti...
" Qu'est-ce que Séville ? Don Ramon avait conclu que Séville était la femme. Étonné par cette réponse étrange, le modérateur avait demandé : Pourquoi ? Question difficile, comme tout ce qui concerne la Femme, répondit très sérieusement le vieux professeur. Pour y répondre, il me vient à l'esprit une métaphore : savez-vous que les rues de Séville, du vieux Séville s'entend, suivent toutes une ligne courbe ? " Rodrigo de Zayas, gentilhomme sévillan, polyglotte, érudit et bourlingueur, est un grand d'Espagne. Dans un style brillant et enlevé, il décline sa ville sur le ton de la confession. Pour qui aime Séville (et qui ne peut l'aimer ?) c'est le bonheur, le vrai, celui dont on garde une petite musique au fond de soi. De Curro Romero, à la semaine sainte, en passant par la musique et la rue, tout est là. Les amoureux de cette ville magique reconnaîtront par petites touches leur Séville. Pourtant, comme le dit l'auteur lui-même " comment... montrer, comment... démontrer ? " Laissez-vous guider, fermez les yeux et écoutez : " Inondée de lumière orangée, méticuleusement rythmée, la rue s'anime. En face, Joaquin soulève péniblement le store de son café. La tôle ondulée s'enroule avec fracas, abasourdissant le demi-silence du matin qui s'ébroue. " C'est parti...