Sermon sur la mort

Par : Jacques-Bénigne Bossuet

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  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • ISBN978-2-84990-474-9
  • EAN9782849904749
  • Date de parution06/01/2019
  • ÉditeurEquateurs (Editions des)

Résumé

« C'est une entreprise hardie que d'aller dire aux hommes qu'ils sont peu de chose. »   Voici comment débute ce Sermon sur la mort qu'il n'est pas inutile de relire aujourd'hui, et de préférence à haute voix, tant il rend hommage à la maîtrise oratoire du grand prédicateur, et tant il nous ramène à notre humilité. Prononcé devant la cour durant le Carême de 1662 par Bossuet lui-même, alors âgé de 34 ans, ce sermon était destiné à montrer aux grands de ce monde que leur vie terrestre n'était rien face à la volonté divine. Il faut se représenter la scène du sermon.
Celui-ci eut lieu au Louvre, donc en dehors de la liturgie. C'était à la fois un spectacle, une expérience spirituelle et un exercice de pouvoir puisque le jeune ecclésiastique se posait, le temps d'une heure, en guide spirituel, moral, et politique du Roi, à l'époque Louis XIV, qui menait une vie pour le moins dissolue.   Ce sermon rappelle à l'homme « qu'il est méprisable en tant qu'il passe » mais aussi « qu'il est infiniment estimable en tant qu'il aboutit à l'éternité ».
Bossuet parlait devant la cour. Et nombre de ses nobles auditeurs ont pu être tentés de se consoler d'une mort certaine en se remémorant leur vie faste et heureuse. Mais Bossuet les met en garde : ne vous consolez pas trop vite car, dans l'au-delà, vous n'aurez guère plus de biens que tous ceux qui n'auront connu qu'une vie d'infortune.   L'un des plus grands orateurs de l'âge classique nous invite à méditer sur notre condition humaine, sa finitude et sa vanité.
Une réflexion exemplaire et intemporelle.
« C'est une entreprise hardie que d'aller dire aux hommes qu'ils sont peu de chose. »   Voici comment débute ce Sermon sur la mort qu'il n'est pas inutile de relire aujourd'hui, et de préférence à haute voix, tant il rend hommage à la maîtrise oratoire du grand prédicateur, et tant il nous ramène à notre humilité. Prononcé devant la cour durant le Carême de 1662 par Bossuet lui-même, alors âgé de 34 ans, ce sermon était destiné à montrer aux grands de ce monde que leur vie terrestre n'était rien face à la volonté divine. Il faut se représenter la scène du sermon.
Celui-ci eut lieu au Louvre, donc en dehors de la liturgie. C'était à la fois un spectacle, une expérience spirituelle et un exercice de pouvoir puisque le jeune ecclésiastique se posait, le temps d'une heure, en guide spirituel, moral, et politique du Roi, à l'époque Louis XIV, qui menait une vie pour le moins dissolue.   Ce sermon rappelle à l'homme « qu'il est méprisable en tant qu'il passe » mais aussi « qu'il est infiniment estimable en tant qu'il aboutit à l'éternité ».
Bossuet parlait devant la cour. Et nombre de ses nobles auditeurs ont pu être tentés de se consoler d'une mort certaine en se remémorant leur vie faste et heureuse. Mais Bossuet les met en garde : ne vous consolez pas trop vite car, dans l'au-delà, vous n'aurez guère plus de biens que tous ceux qui n'auront connu qu'une vie d'infortune.   L'un des plus grands orateurs de l'âge classique nous invite à méditer sur notre condition humaine, sa finitude et sa vanité.
Une réflexion exemplaire et intemporelle.
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