Séquences mortelles

Par : Michael Connelly
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Disponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages480
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.26 kg
  • Dimensions11,1 cm × 17,9 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-253-10767-5
  • EAN9782253107675
  • Date de parution02/03/2022
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche
  • TraducteurRobert Pépin

Résumé

L'illustre Jack McEvoy, devenu journaliste pour un site Web de défense des consommateurs, a eu raison de bien des assassins. Jusqu'au jour où il est accusé de meurtre par deux inspecteurs du LAPD. Et leurs arguments ont du poids : il aurait tué une certaine Tina Portrero, avec laquelle il a effectivement passé une nuit. Malgré les interdictions de la police et de son patron, il enquête et découvre que d'autres femmes sont mortes de la même et parfaitement horrible façon : le cou brisé.
Le tueur, il le comprend aussi, choisit ses victimes à l'aide de leurs données génétiques. Trouver la séquence ADN qui le conduira à sa prochaine proie devient la priorité de Jack. Mais déjà, le monstre est de nouveau prêt à frapper.
L'illustre Jack McEvoy, devenu journaliste pour un site Web de défense des consommateurs, a eu raison de bien des assassins. Jusqu'au jour où il est accusé de meurtre par deux inspecteurs du LAPD. Et leurs arguments ont du poids : il aurait tué une certaine Tina Portrero, avec laquelle il a effectivement passé une nuit. Malgré les interdictions de la police et de son patron, il enquête et découvre que d'autres femmes sont mortes de la même et parfaitement horrible façon : le cou brisé.
Le tueur, il le comprend aussi, choisit ses victimes à l'aide de leurs données génétiques. Trouver la séquence ADN qui le conduira à sa prochaine proie devient la priorité de Jack. Mais déjà, le monstre est de nouveau prêt à frapper.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Un bon moment
Un bon moment de lecture. A recommander
Un bon moment de lecture. A recommander
Une enquête haletante
Vingt-cinq ans après Le Poète, Jack McEvoy n’est plus chroniqueur judiciaire, mais journaliste au Fair Warning, un site de défense des consommateurs. Un jour, deux inspecteurs du LAPD, qui appartiennent à l’unité Vols et Homicides, l’attendent chez lui. Le nom de Jack est apparu dans une enquête : il s’agit de l’assassinat d’une femme, avec qui il a eu une relation d’un soir, Christina Portrero. Elle a été tuée par Dislocation atlanto-occipitale (DAO), ce qui signifie décapitation interne. « Quelqu’un a fait faire un cent-quatre-vingts degrés à son cou. C’est une sale façon de mourir. » (p. 31) Avant sa mort, la victime avait confié à une amie qu’elle subissait du cyber-harcèlement. Elle lui avait indiqué qu’elle avait rencontré un homme, dans un bar, qui savait des choses sur elle qu’il n’aurait pas dû connaître. Sur un site de médecins légistes, Jack poste un message demandant si d’autres crimes par décapitation interne ont été commis. Effectivement, d’autres personnes sont mortes, le cou brisé. Le journaliste découvre qu’elles avaient toutes soumis leur ADN, à une société d’analyses, la GT 23, qui permet de retrouver des ancêtres, des membres de sa famille ou d’évaluer des risques médicaux. Il apprend que les ADN sont vendus pour des recherches génétiques et il soupçonne des failles dans la sécurité des données. Il comprend, alors, que le tueur choisit ses proies à partir de séquences ADN déterminées. Motivé par la nécessité de s’innocenter et par celle d’alerter la population, Jack se met en danger pour débusquer le meurtrier. De plus, il enchaîne les ennuis juridiques et professionnels : le LAPD et son supérieur refusent qu’il enquête. Cependant, Jack n’obéit pas aux injonctions. Non seulement, il veut être rayé de la liste des suspects (il a accepté que son ADN soit prélevé pour cette raison), mais il sent qu’il tient un bon papier. Son chef, lui-même, finit par se ranger à ses arguments, mais il lui impose de travailler en binôme. Cela froisse sa susceptibilité, mais il ne peut que reconnaître le talent d’Emily et les avancées faites grâce à elle. J’ai adoré le caractère empli d’aspérités du héros. Il est, parfois, bougon, il ne supporte pas que sa fierté soit écornée, il manque de délicatesse, par moments, et il est indiscipliné lorsqu’il est certain de tenir un sujet. Cependant, il essaie de composer, car son objectif est de prévenir le public des risques encourus. Il est courageux et sait être prévenant. Mais surtout, il ne lâche rien et il est très doué pour mener des investigations. Dans ma chronique sur Le Poète, j’avais noté que, malgré les outils technologiques dépassés, en raison de l’ancienneté de son écriture, la modernité du récit était impressionnante. Dans Séquences mortelles, Jack profite de toutes les avancées modernes, et nous explique autant leurs atouts que leurs limites de confidentialité. C’est passionnant de découvrir à quelles fins, notre profil génétique peut servir et cela est glaçant de prendre conscience de quelle manière, il peut être détourné. Si vous envisagiez de rechercher des ancêtres, en envoyant votre ADN à l’étranger, puisque ce n’est pas autorisé en France, vous risquez de reculer. Il est effarant, aussi, de constater les erreurs qui peuvent découler de ce qui constitue une preuve irréfutable. Enfin, Jack montre les limites de la science. C’est en étudiant le profil des défuntes qu’il est parvenu à établir un lien entre elles. J’ai adoré Séquences mortelles. L’équilibre entre l’enquête haletante, aux nombreux rebondissements, et la vie privée chaotique de Jack, en font un polar aussi passionnant pour l’intrigue que pour l’attachement à son personnage principal.
Vingt-cinq ans après Le Poète, Jack McEvoy n’est plus chroniqueur judiciaire, mais journaliste au Fair Warning, un site de défense des consommateurs. Un jour, deux inspecteurs du LAPD, qui appartiennent à l’unité Vols et Homicides, l’attendent chez lui. Le nom de Jack est apparu dans une enquête : il s’agit de l’assassinat d’une femme, avec qui il a eu une relation d’un soir, Christina Portrero. Elle a été tuée par Dislocation atlanto-occipitale (DAO), ce qui signifie décapitation interne. « Quelqu’un a fait faire un cent-quatre-vingts degrés à son cou. C’est une sale façon de mourir. » (p. 31) Avant sa mort, la victime avait confié à une amie qu’elle subissait du cyber-harcèlement. Elle lui avait indiqué qu’elle avait rencontré un homme, dans un bar, qui savait des choses sur elle qu’il n’aurait pas dû connaître. Sur un site de médecins légistes, Jack poste un message demandant si d’autres crimes par décapitation interne ont été commis. Effectivement, d’autres personnes sont mortes, le cou brisé. Le journaliste découvre qu’elles avaient toutes soumis leur ADN, à une société d’analyses, la GT 23, qui permet de retrouver des ancêtres, des membres de sa famille ou d’évaluer des risques médicaux. Il apprend que les ADN sont vendus pour des recherches génétiques et il soupçonne des failles dans la sécurité des données. Il comprend, alors, que le tueur choisit ses proies à partir de séquences ADN déterminées. Motivé par la nécessité de s’innocenter et par celle d’alerter la population, Jack se met en danger pour débusquer le meurtrier. De plus, il enchaîne les ennuis juridiques et professionnels : le LAPD et son supérieur refusent qu’il enquête. Cependant, Jack n’obéit pas aux injonctions. Non seulement, il veut être rayé de la liste des suspects (il a accepté que son ADN soit prélevé pour cette raison), mais il sent qu’il tient un bon papier. Son chef, lui-même, finit par se ranger à ses arguments, mais il lui impose de travailler en binôme. Cela froisse sa susceptibilité, mais il ne peut que reconnaître le talent d’Emily et les avancées faites grâce à elle. J’ai adoré le caractère empli d’aspérités du héros. Il est, parfois, bougon, il ne supporte pas que sa fierté soit écornée, il manque de délicatesse, par moments, et il est indiscipliné lorsqu’il est certain de tenir un sujet. Cependant, il essaie de composer, car son objectif est de prévenir le public des risques encourus. Il est courageux et sait être prévenant. Mais surtout, il ne lâche rien et il est très doué pour mener des investigations. Dans ma chronique sur Le Poète, j’avais noté que, malgré les outils technologiques dépassés, en raison de l’ancienneté de son écriture, la modernité du récit était impressionnante. Dans Séquences mortelles, Jack profite de toutes les avancées modernes, et nous explique autant leurs atouts que leurs limites de confidentialité. C’est passionnant de découvrir à quelles fins, notre profil génétique peut servir et cela est glaçant de prendre conscience de quelle manière, il peut être détourné. Si vous envisagiez de rechercher des ancêtres, en envoyant votre ADN à l’étranger, puisque ce n’est pas autorisé en France, vous risquez de reculer. Il est effarant, aussi, de constater les erreurs qui peuvent découler de ce qui constitue une preuve irréfutable. Enfin, Jack montre les limites de la science. C’est en étudiant le profil des défuntes qu’il est parvenu à établir un lien entre elles. J’ai adoré Séquences mortelles. L’équilibre entre l’enquête haletante, aux nombreux rebondissements, et la vie privée chaotique de Jack, en font un polar aussi passionnant pour l’intrigue que pour l’attachement à son personnage principal.
Michael Connelly

Michael Connelly est un célèbre auteur américain, c’est, d’ailleurs, l’un des écrivains de romans policiers les plus connus. Parmi les nombreux romans qu’il a écrit tout au long de sa carrière d’écrivain, c’est certainement la série Harry Bosch qui est la plus populaire auprès du public.

Une carrière d’écrivain assez tardive

Michael Connelly a vu le jour le 21 juillet 1956 à Philadelphie, mais a grandit en Floride où il a suivi, notamment, ses études et obtenu un Bachelor’s Degree à l’université de Floride en 1980. Avec son diplôme en poche, il a rapidement pu commencer une carrière de journaliste où il s’est réellement épanouit. Six ans plus tard, il co-écrit un article sur le crash du vol 191 Delta Air Lines et, plus précisément, sur les rescapés de ce crash. Avec cet article, Michael Connelly s’est hissé parmi les finalistes du prestigieux prix Pulitzer, ce qui lui a permis de devenir chroniqueur judicieux au Los Angeles Times.

Ce n’est qu’en 1992 que Michael Connelly décide de devenir écrivain et se lance, ainsi, dans l’écriture de son premier polar, son premier succès : les Egouts de Los Angeles. Ce roman marque un véritable tournant dans son début de carrière. C’est aussi le premier roman qui met en scène Harry Bosch, inspecteur de police qui sera aussi le héros de bon nombre de ses autres romans.

Des techniques de travail simples, mais bien rodées

Michael Connelly est, ce que l’on appelle, un écrivain prolifique. En effet, ce dernier écrit environ un roman par an, ce qui est relativement conséquent. Pour réussir à atteindre ce rythme, il ne s’impose pas vraiment de techniques particulières, simplement une régularité dans son travail. Pour lui, pour écrire un bon roman, il suffit de connaître, à l’avance, le début et la fin de son histoire puis de se laisser porter par le courant de l’imagination. L’utilisation de plan détaillé nuit à sa créativité. Contrairement à d’autres écrivains, Michael Connelly écrit sur ordinateur et la seule véritable contrainte qu’il s’impose est d’écrire à des horaires bien précis, de préférence tôt le matin.

Un succès retentissant

La série Harry Bosch est l’une des plus célèbres séries de romans policiers. Cette série comporte un total de 26 romans ! Toutefois, Michael Connelly a aussi écrit de nombreuses autres séries telles que la série Mickey Haller, la série Jack McEvoy ou encore la série Renée Ballard. En dehors de ces séries, il a aussi écrit diverses nouvelles et romans indépendants.

Le succès de ses romans est tel, que Michael Connelly a reçu de nombreux prix et distinctions. La série Harry Bosch, à elle seule, en a reçu un certain nombre. Le roman les Egouts de Los Angeles a reçu le prix Edgar Allan Poe du meilleur premier roman en 1993, le roman le Dernier Coyote a reçu le prix Dilys en 1996, Le roman Créance de Sang a reçu le grand prix de littérature policière en 1999… La liste des prix et distinctions reçus par Michael Connelly est relativement longue, ce qui prouve son succès auprès des professionnel ainsi que des lecteurs.

Des romans au petit et au grand écran

Qui dit succès international dit forcément adaptation cinématographie et télévisée. Ainsi, Harry Bosch a été adapté en série télévisée en 2014, tandis que Créance de Sang et La Défense Lincoln ont été adapté au cinéma en 2002 pour le premier et 2011 pour le second. Par ailleurs, Michael Connelly a co-créé la série télévisée Unité 9.

Michael Connelly a également joué dans la série télévisée Castle. Dans la saison 2 et la saison 3 de cette série, il y joue son propre rôle et apparait même dans l’épisode final de la saison 7.

Un succès qui n’est pas près de s’estomper

Depuis ses débuts, Michael Connelly est un auteur à succès. En l’espace de quelques années, il est devenu l’un des auteurs de romans policiers les plus connus dans le monde entier. Chaque nouveau roman qui voit le jour se vend par milliers d’exemplaires et est traduit en différentes langues. Sa popularité ne cesse de croître, que ce soit pour sa série Harry Bosch ou pour n’importe quel autre roman. Ce succès n’est pas près de s’estomper.

L'Étoile du désert
5/5
Michael Connelly
E-book
9,99 €
Sans l'ombre d'un doute
Michael Connelly
E-book
15,99 €
À qui sait attendre
5/5
Michael Connelly
E-book
15,99 €
Sous les eaux d'Avalon
Michael Connelly
E-book
15,99 €
L'épouvantail
3.5/5
3.7/5
Michael Connelly
Poche
10,40 €
L'épouvantail
3.5/5
3.7/5
Michael Connelly
E-book
8,49 €
Le Poète
3.5/5
4.2/5
Michael Connelly
Poche
10,40 €
A genoux
3/5
3.8/5
Michael Connelly
Poche
8,90 €
À genoux
3/5
3.8/5
Michael Connelly
E-book
8,99 €
L'innocence et la loi
Michael Connelly
Audiobook
25,45 €
Le verdict du plomb
3.8/5
Michael Connelly
E-book
9,99 €