La température "ressentie" est désormais présente dans tous les bulletins météo. Et, petit à petit, cette notion de ressenti se propage dans bien des domaines : sentiment d'insécurité ou de déclassement, anxiété écologique, fatigue informationnelle, craintes identitaires, consommation ou encore perceptions politiques..., ce que l'on ressent pèse de plus en plus lourd dans nos regards et nos actions.
Peut-on mieux cerner cette notion ? Quelle est son influence sur nos sociétés ? Et qu'en faire ? Faut-il désormais inventer un "ressentimètre" ?
La température "ressentie" est désormais présente dans tous les bulletins météo. Et, petit à petit, cette notion de ressenti se propage dans bien des domaines : sentiment d'insécurité ou de déclassement, anxiété écologique, fatigue informationnelle, craintes identitaires, consommation ou encore perceptions politiques..., ce que l'on ressent pèse de plus en plus lourd dans nos regards et nos actions.
Peut-on mieux cerner cette notion ? Quelle est son influence sur nos sociétés ? Et qu'en faire ? Faut-il désormais inventer un "ressentimètre" ?