Sécurité sociale. Main basse sur le trou

Par : Philippe Blanchard, Leslie Varenne

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages188
  • PrésentationBroché
  • Poids0.315 kg
  • Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-84855-060-0
  • EAN9782848550602
  • Date de parution26/08/2004
  • ÉditeurCarnot (Editions)

Résumé

Le trou de la Sécurité sociale est abyssal, tout le monde le sait. Mais on ignore ce qui se passe en coulisse. Et là, la surprise est de taille. Durant près d'un an, Leslie Varenne et Philippe Blanchard ont suivi la trace de ces sommes colossales, qu'il faut traquer de Vilnius à Prague, du Luxembourg à Bombay, jusque dans les coffres des banques offshores. A Paris, c'est un établissement public administratif déguisé en banque d'affaires, la CADES, qui gère la situation. A peine contrôlée, cette Caisse agit en toute autonomie pour livrer la dette à la fantaisie des marchés internationaux. Le tout avec le produit de la CRDS, une contribution sociale à l'origine provisoire que chaque salarié versera jusqu'à ce que le trou ait disparu. Au minimum en 2020. Mais probablement bien plus tard... En effet, les politiques viennent d'ajouter à sa charge vingt-cinq milliards dans l'indifférence générale. Les syndicats restent étrangement muets et semblent avoir démissionné face au modèle qui s'annonce. Avec, en cas de dérapage, le spectre des faillites de l'Argentine, d'Enron ou de Parmalat. Et donc de la disparition de notre système de santé tel qu'il fonctionne actuellement. Ce jour-là, mieux vaudra être riche et bien portant...
Le trou de la Sécurité sociale est abyssal, tout le monde le sait. Mais on ignore ce qui se passe en coulisse. Et là, la surprise est de taille. Durant près d'un an, Leslie Varenne et Philippe Blanchard ont suivi la trace de ces sommes colossales, qu'il faut traquer de Vilnius à Prague, du Luxembourg à Bombay, jusque dans les coffres des banques offshores. A Paris, c'est un établissement public administratif déguisé en banque d'affaires, la CADES, qui gère la situation. A peine contrôlée, cette Caisse agit en toute autonomie pour livrer la dette à la fantaisie des marchés internationaux. Le tout avec le produit de la CRDS, une contribution sociale à l'origine provisoire que chaque salarié versera jusqu'à ce que le trou ait disparu. Au minimum en 2020. Mais probablement bien plus tard... En effet, les politiques viennent d'ajouter à sa charge vingt-cinq milliards dans l'indifférence générale. Les syndicats restent étrangement muets et semblent avoir démissionné face au modèle qui s'annonce. Avec, en cas de dérapage, le spectre des faillites de l'Argentine, d'Enron ou de Parmalat. Et donc de la disparition de notre système de santé tel qu'il fonctionne actuellement. Ce jour-là, mieux vaudra être riche et bien portant...