Santo Sospir. Jean Cocteau 1950

Par : Carole Weisweiller

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  • Nombre de pages127
  • PrésentationBroché
  • Poids0.455 kg
  • Dimensions24,5 cm × 18,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-87623-290-7
  • EAN9782876232907
  • Date de parution16/06/2011
  • CollectionLe Studiolo
  • ÉditeurMichel de Maule
  • PhotographeChristophe Lepetit

Résumé

En 1949, Francine Weisweiller fit la connaissance du poète Jean Cocteau lors du tournage du film tiré de son roman Les Enfants terribles. En 1950, elle invita le poète à venir se reposer en compagnie de son fils adoptif, Edouard Dermit, dans sa villa du Cap Ferrat. Après quelques jours, Cocteau, qui ne supportait pas l'oisiveté, lui demanda s'il pouvait dessiner au-dessus de la cheminée une tête d'Apollon.
De fil en aiguille, il tatoua de fresques tous les murs de la villa, en s'inspirant aussi bien de thèmes de la mythologie grecque que des Baigneuses de Renoir, de dessins de Pisanello ou encore de thèmes propres à la Côte d'Azur. Jusqu'à la fin de sa vie (1963), Cocteau passa de très longs séjours à la villa Santo Sospir. Il écrivit un jour : "Quand je travaillais à Santo Sospir, je devenais moi-même et ces murs parlaient à ma place".
Cocteau a consacré un film à cette villa, La Villa Santo-Sospir (36 mn, 1952), où Francine Weisweiller interprète son propre rôle. La villa est aujourd'hui protégée au titre des Monuments Historiques Français.
En 1949, Francine Weisweiller fit la connaissance du poète Jean Cocteau lors du tournage du film tiré de son roman Les Enfants terribles. En 1950, elle invita le poète à venir se reposer en compagnie de son fils adoptif, Edouard Dermit, dans sa villa du Cap Ferrat. Après quelques jours, Cocteau, qui ne supportait pas l'oisiveté, lui demanda s'il pouvait dessiner au-dessus de la cheminée une tête d'Apollon.
De fil en aiguille, il tatoua de fresques tous les murs de la villa, en s'inspirant aussi bien de thèmes de la mythologie grecque que des Baigneuses de Renoir, de dessins de Pisanello ou encore de thèmes propres à la Côte d'Azur. Jusqu'à la fin de sa vie (1963), Cocteau passa de très longs séjours à la villa Santo Sospir. Il écrivit un jour : "Quand je travaillais à Santo Sospir, je devenais moi-même et ces murs parlaient à ma place".
Cocteau a consacré un film à cette villa, La Villa Santo-Sospir (36 mn, 1952), où Francine Weisweiller interprète son propre rôle. La villa est aujourd'hui protégée au titre des Monuments Historiques Français.