Santa Muerte. Mexico, la Mort et ses dévots

Par : Francis Mobio

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  • Nombre de pages175
  • PrésentationBroché
  • Poids0.404 kg
  • Dimensions13,2 cm × 19,8 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-84952-102-1
  • EAN9782849521021
  • Date de parution24/11/2010
  • ÉditeurImago

Résumé

Autrefois appelée Tenochtitlan, cité lacustre décrite et peinte comme un véritable paradis terrestre, la ville de Mexico est devenue aujourd’hui synonyme de violence, de criminalité, de précarité, d’insécurité, de maladie et de mort. Du centre à la périphérie, 24 millions d’habitants assèchent les cours d’eau, ruinent l’air et la terre, bâtissent sans fin des habitations qui dévorent le paysage : l’eldorado de Cortès s’est transformé en enfer.
Pour tenter de vivre dans la cité géante, deux millions de personnes, pour la plupart issues du monde ouvrier ou artisan, ou relevant des milieux carcéraux, de la délinquance, de la prostitution et du narcotrafic, pratiquent le culte populaire de la Santa Muerte et instaurent un dialogue direct avec la mort par le biais de ses représentations. La Santa Muerte, à laquelle sont consacrés plusieurs centaines d’autels dans Mexico et dans sa périphérie, apparaît sous la forme d’un squelette somptueusement habillé qui soutient dans sa main droite une faux ou une balance, signe d’égalité devant la mort.
Exposée dans des autels en plein air ou enfermée dans des châsses en verre, l’effigie peut apparaître à un coin de rue, à un carrefour fréquenté, dans un marché populaire ou dans un garage aménagé pour lui rendre honneur. Né aux alentours de 1960 dans les milieux les plus défavorisés, au fil des destructions de l’environnement et de l’accroissement de graves problèmes sociaux, le culte de la Santissima s’est développé et s’étend maintenant dans toutes les couches de la société.
Dans ce livre-photos, Francis Mobio, anthropologue-photographe, ne se contente pas d’offrir une simple juxtaposition de belles images du pire et du meilleur de Mexico, mais en unissant sensibilité et réflexion, nous plonge au coeur même du quotidien des dévots de la Santa Muerte. Chaque photo est brièvement commenté, et l’ensemble est saisissant.
Autrefois appelée Tenochtitlan, cité lacustre décrite et peinte comme un véritable paradis terrestre, la ville de Mexico est devenue aujourd’hui synonyme de violence, de criminalité, de précarité, d’insécurité, de maladie et de mort. Du centre à la périphérie, 24 millions d’habitants assèchent les cours d’eau, ruinent l’air et la terre, bâtissent sans fin des habitations qui dévorent le paysage : l’eldorado de Cortès s’est transformé en enfer.
Pour tenter de vivre dans la cité géante, deux millions de personnes, pour la plupart issues du monde ouvrier ou artisan, ou relevant des milieux carcéraux, de la délinquance, de la prostitution et du narcotrafic, pratiquent le culte populaire de la Santa Muerte et instaurent un dialogue direct avec la mort par le biais de ses représentations. La Santa Muerte, à laquelle sont consacrés plusieurs centaines d’autels dans Mexico et dans sa périphérie, apparaît sous la forme d’un squelette somptueusement habillé qui soutient dans sa main droite une faux ou une balance, signe d’égalité devant la mort.
Exposée dans des autels en plein air ou enfermée dans des châsses en verre, l’effigie peut apparaître à un coin de rue, à un carrefour fréquenté, dans un marché populaire ou dans un garage aménagé pour lui rendre honneur. Né aux alentours de 1960 dans les milieux les plus défavorisés, au fil des destructions de l’environnement et de l’accroissement de graves problèmes sociaux, le culte de la Santissima s’est développé et s’étend maintenant dans toutes les couches de la société.
Dans ce livre-photos, Francis Mobio, anthropologue-photographe, ne se contente pas d’offrir une simple juxtaposition de belles images du pire et du meilleur de Mexico, mais en unissant sensibilité et réflexion, nous plonge au coeur même du quotidien des dévots de la Santa Muerte. Chaque photo est brièvement commenté, et l’ensemble est saisissant.