Salonique (1781-1913). Une histoire consulaire de la question d'Orient
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- Nombre de pages326
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.588 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,9 cm
- ISBN979-10-351-0083-4
- EAN9791035100834
- Date de parution13/09/2018
- CollectionHistoire contemporaine
- ÉditeurEditions de la Sorbonne
Résumé
En 1913, à l'issue des guerres balkaniques, le consulat de France à Salonique sort de la juridiction de l'ambassade de France à Constantinople, dont il dépendait depuis sa création en 1686. S'il est désormais rattaché à la Légation de France à Athènes, sa circonscription est, elle, éclatée entre plusieurs entités étatiques et nationales : Grèce, Serbie ou encore Bulgarie. Cette double mutation, territoriale et administrative, n'est pourtant que le résultat tangible de 150 ans de profonds bouleversements constitutifs de la fameuse question d'Orient, qui ont transformé tant l'Empire ottoman, notamment dans sa partie balkanique, que le poste d'observation avancé de la diplomatie française que représente l'institution consulaire de Salonique.
L'étude du consulat sur le temps long, véritable fil conducteur du livre, permet de saisir l'ensemble des temporalités diverses - locale, nationale, ottomane, française, méditerranéenne, européenne, internationale - dans lesquelles l'institution consulaire s'inscrit, de réfléchir aux ruptures, adaptations et autres contretemps et, sans toutefois les hiérarchiser, de souligner les décalages entre la théorie, les discours et les réalités de l'action consulaire.
Tour à tour objet d'histoire humaine et urbaine, d'histoire politique, diplomatique et économique, d'histoire institutionnelle et administrative, le consulat, en interaction aussi bien qu'en représentation à différentes échelles, est réfléchi au miroir de lui-même.
L'étude du consulat sur le temps long, véritable fil conducteur du livre, permet de saisir l'ensemble des temporalités diverses - locale, nationale, ottomane, française, méditerranéenne, européenne, internationale - dans lesquelles l'institution consulaire s'inscrit, de réfléchir aux ruptures, adaptations et autres contretemps et, sans toutefois les hiérarchiser, de souligner les décalages entre la théorie, les discours et les réalités de l'action consulaire.
Tour à tour objet d'histoire humaine et urbaine, d'histoire politique, diplomatique et économique, d'histoire institutionnelle et administrative, le consulat, en interaction aussi bien qu'en représentation à différentes échelles, est réfléchi au miroir de lui-même.
En 1913, à l'issue des guerres balkaniques, le consulat de France à Salonique sort de la juridiction de l'ambassade de France à Constantinople, dont il dépendait depuis sa création en 1686. S'il est désormais rattaché à la Légation de France à Athènes, sa circonscription est, elle, éclatée entre plusieurs entités étatiques et nationales : Grèce, Serbie ou encore Bulgarie. Cette double mutation, territoriale et administrative, n'est pourtant que le résultat tangible de 150 ans de profonds bouleversements constitutifs de la fameuse question d'Orient, qui ont transformé tant l'Empire ottoman, notamment dans sa partie balkanique, que le poste d'observation avancé de la diplomatie française que représente l'institution consulaire de Salonique.
L'étude du consulat sur le temps long, véritable fil conducteur du livre, permet de saisir l'ensemble des temporalités diverses - locale, nationale, ottomane, française, méditerranéenne, européenne, internationale - dans lesquelles l'institution consulaire s'inscrit, de réfléchir aux ruptures, adaptations et autres contretemps et, sans toutefois les hiérarchiser, de souligner les décalages entre la théorie, les discours et les réalités de l'action consulaire.
Tour à tour objet d'histoire humaine et urbaine, d'histoire politique, diplomatique et économique, d'histoire institutionnelle et administrative, le consulat, en interaction aussi bien qu'en représentation à différentes échelles, est réfléchi au miroir de lui-même.
L'étude du consulat sur le temps long, véritable fil conducteur du livre, permet de saisir l'ensemble des temporalités diverses - locale, nationale, ottomane, française, méditerranéenne, européenne, internationale - dans lesquelles l'institution consulaire s'inscrit, de réfléchir aux ruptures, adaptations et autres contretemps et, sans toutefois les hiérarchiser, de souligner les décalages entre la théorie, les discours et les réalités de l'action consulaire.
Tour à tour objet d'histoire humaine et urbaine, d'histoire politique, diplomatique et économique, d'histoire institutionnelle et administrative, le consulat, en interaction aussi bien qu'en représentation à différentes échelles, est réfléchi au miroir de lui-même.