Sale temps pour le GIEC. Du prix Nobel aux affaires, grandeur et décadence des experts du climat

Par : Etienne Dubuis

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  • Nombre de pages183
  • PrésentationBroché
  • Poids0.24 kg
  • Dimensions13,0 cm × 23,5 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-8289-1171-3
  • EAN9782828911713
  • Date de parution26/08/2010
  • CollectionDébat public
  • ÉditeurFavre

Résumé

Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) est devenu en vingt ans l'une des organisations les plus influentes du monde. Auréolée du prix Nobel de la paix en 2007, cette émanation de l'ONU est parvenue à placer son objectif, la lutte contre le réchauffement, tout en haut de l'agenda politique international. Jusqu'à mobiliser autour de la question, en décembre 2009 à Copenhague, les principaux chefs d'Etat et de gouvernement de la planète.
Les raisons de cette attention? Le GIEC annonce un réchauffement climatique aux effets désastreux, où les inondations se mêlent aux sécheresses, la propagation des maladies à la multiplication des catastrophes naturelles. Il en rend responsable l'homme et sa consommation de combustibles fossiles (pétrole, gaz et charbon). Et il demande à l'humanité de limiter de manière draconienne l'usage de ces énergies, quitte à ralentir son développement économique.
Quelle responsabilité ! Il faut être d'une solidité sans faille pour agiter de telles peurs et solliciter de tels sacrifices. Or le GIEC montre des faiblesses: il commet des erreurs, se sert de méthodes inappropriées, utilise du personnel à contre-emploi, peine à traduire la complexité du système climatique et éprouve mille difficultés à se remettre en question. Sale temps pour le GIEC retrace l'histoire de cette organisation controversée, prise en faute au moment même où elle prétendait dicter sa volonté à la terre entière.
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) est devenu en vingt ans l'une des organisations les plus influentes du monde. Auréolée du prix Nobel de la paix en 2007, cette émanation de l'ONU est parvenue à placer son objectif, la lutte contre le réchauffement, tout en haut de l'agenda politique international. Jusqu'à mobiliser autour de la question, en décembre 2009 à Copenhague, les principaux chefs d'Etat et de gouvernement de la planète.
Les raisons de cette attention? Le GIEC annonce un réchauffement climatique aux effets désastreux, où les inondations se mêlent aux sécheresses, la propagation des maladies à la multiplication des catastrophes naturelles. Il en rend responsable l'homme et sa consommation de combustibles fossiles (pétrole, gaz et charbon). Et il demande à l'humanité de limiter de manière draconienne l'usage de ces énergies, quitte à ralentir son développement économique.
Quelle responsabilité ! Il faut être d'une solidité sans faille pour agiter de telles peurs et solliciter de tels sacrifices. Or le GIEC montre des faiblesses: il commet des erreurs, se sert de méthodes inappropriées, utilise du personnel à contre-emploi, peine à traduire la complexité du système climatique et éprouve mille difficultés à se remettre en question. Sale temps pour le GIEC retrace l'histoire de cette organisation controversée, prise en faute au moment même où elle prétendait dicter sa volonté à la terre entière.