Saint Jérôme. Lettres

Par : Saint Jérôme

Formats :

    • Nombre de pages232
    • PrésentationBroché
    • Poids0.249 kg
    • Dimensions12,6 cm × 19,6 cm × 1,3 cm
    • ISBN978-2-204-09322-4
    • EAN9782204093224
    • Date de parution31/05/2012
    • CollectionCollection de L'abeille
    • ÉditeurCerf
    • Commentateur (texte)Benoît Jeanjean

    Résumé

    Que connaît-on de saint Jérôme sinon quelques représentations aperçues au hasard d'une visite de musée : un vénérable vieillard, qu'un lion accompagne, à demi nu clans un drap teint de pourpre et faisant pénitence en se frappant la poitrine d'une pierre ensanglantée ou bien, plus confortablement assis à sa table de travail, plongé clans la méditation d'une bible ouverte, en digne précurseur des humanistes de la Renaissance ? Ces représentations ne disent presque rien de Jérôme de Stridon, moine, prêtre, contemporain d'Ambroise de Milan et d'Augustin, premier auteur latin à avoir traduit directement la Bible d'après l'original hébreu, à avoir développé une inlassable activité d'écrivain au service de l'Ecriture et de la foi à tin moment où le christianisme accède au statut de religion officielle de l'Empire romain.
    Pour le rencontrer invitant ses contemporains à la vie parfaite, élaborant pour eux la future Vulgate, commentant l'Ecriture et défendant la foi chrétienne, rien ne vaut la lecture de ces Lettres où se reflètent toutes les facettes de sa personnalité et de son talent. L'ouvrage de Benoît Jeanjean offre une présentation de la figure de Jérôme originale, une sorte de "Jérôme par lui-même", une traduction entièrement nouvelle de la quinzaine de lettres choisies.
    Il fait entrer le texte de Jérôme en dialogue avec de grands textes de la littérature française qui ont pu s'inspirer de lui, comme certaines pages de Molière, Chateaubriand ou Stendhal.
    Que connaît-on de saint Jérôme sinon quelques représentations aperçues au hasard d'une visite de musée : un vénérable vieillard, qu'un lion accompagne, à demi nu clans un drap teint de pourpre et faisant pénitence en se frappant la poitrine d'une pierre ensanglantée ou bien, plus confortablement assis à sa table de travail, plongé clans la méditation d'une bible ouverte, en digne précurseur des humanistes de la Renaissance ? Ces représentations ne disent presque rien de Jérôme de Stridon, moine, prêtre, contemporain d'Ambroise de Milan et d'Augustin, premier auteur latin à avoir traduit directement la Bible d'après l'original hébreu, à avoir développé une inlassable activité d'écrivain au service de l'Ecriture et de la foi à tin moment où le christianisme accède au statut de religion officielle de l'Empire romain.
    Pour le rencontrer invitant ses contemporains à la vie parfaite, élaborant pour eux la future Vulgate, commentant l'Ecriture et défendant la foi chrétienne, rien ne vaut la lecture de ces Lettres où se reflètent toutes les facettes de sa personnalité et de son talent. L'ouvrage de Benoît Jeanjean offre une présentation de la figure de Jérôme originale, une sorte de "Jérôme par lui-même", une traduction entièrement nouvelle de la quinzaine de lettres choisies.
    Il fait entrer le texte de Jérôme en dialogue avec de grands textes de la littérature française qui ont pu s'inspirer de lui, comme certaines pages de Molière, Chateaubriand ou Stendhal.