Sacrifié de la BAC Nord
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- Nombre de pages320
- PrésentationBroché
- Poids0.425 kg
- Dimensions14,1 cm × 22,5 cm × 2,8 cm
- ISBN978-2-258-11779-2
- EAN9782258117792
- Date de parution10/09/2015
- CollectionDocuments
- ÉditeurPresses de la Cité
Résumé
Matricule 428270. Grade : brigadier-chef. A 54 ans, l'ancien policier Bruno Carrasco a derrière lui trente ans de police, dont neuf à la très décriée BAC Nord de Marseille. Quand la brigade anti-criminalité des quartiers Nord de Marseille vole en éclats en octobre 2012, il fait partie des mis en examen, et se retrouve en détention provisoire trois mois au quartier d'isolement, à quelques mètres des petits délinquants qu'il a interpellés lui-même.
A sa libération, Bruno Carrasco accepte de se faire interner dans une clinique psychiatrique, « pour ne pas devenir fou ni sombrer définitivement ». Des mois après l'emballement médiatique autour des « ripoux » présumés de Marseille, l'affaire se dégonfle comme un soufflé. Les charges avancées à l'époque sont devenues bien fragiles contre ces policiers qui sont restés sur le carreau. Mais il faut en sacrifier certains et Bruno Carrasco sera l'un d'eux.
A sa libération, Bruno Carrasco accepte de se faire interner dans une clinique psychiatrique, « pour ne pas devenir fou ni sombrer définitivement ». Des mois après l'emballement médiatique autour des « ripoux » présumés de Marseille, l'affaire se dégonfle comme un soufflé. Les charges avancées à l'époque sont devenues bien fragiles contre ces policiers qui sont restés sur le carreau. Mais il faut en sacrifier certains et Bruno Carrasco sera l'un d'eux.
Matricule 428270. Grade : brigadier-chef. A 54 ans, l'ancien policier Bruno Carrasco a derrière lui trente ans de police, dont neuf à la très décriée BAC Nord de Marseille. Quand la brigade anti-criminalité des quartiers Nord de Marseille vole en éclats en octobre 2012, il fait partie des mis en examen, et se retrouve en détention provisoire trois mois au quartier d'isolement, à quelques mètres des petits délinquants qu'il a interpellés lui-même.
A sa libération, Bruno Carrasco accepte de se faire interner dans une clinique psychiatrique, « pour ne pas devenir fou ni sombrer définitivement ». Des mois après l'emballement médiatique autour des « ripoux » présumés de Marseille, l'affaire se dégonfle comme un soufflé. Les charges avancées à l'époque sont devenues bien fragiles contre ces policiers qui sont restés sur le carreau. Mais il faut en sacrifier certains et Bruno Carrasco sera l'un d'eux.
A sa libération, Bruno Carrasco accepte de se faire interner dans une clinique psychiatrique, « pour ne pas devenir fou ni sombrer définitivement ». Des mois après l'emballement médiatique autour des « ripoux » présumés de Marseille, l'affaire se dégonfle comme un soufflé. Les charges avancées à l'époque sont devenues bien fragiles contre ces policiers qui sont restés sur le carreau. Mais il faut en sacrifier certains et Bruno Carrasco sera l'un d'eux.