Marie-Anne Bouchet-Roy a fait ses premiers pas sur la plage de Royan, ses premiers tours de manège à côté de l'Auditorium et ses premières dictées à l'école de filles Jules Ferry, après avoir été brutalement séparée de son amoureux de maternelle. Premier chagrin d'amour. Elle retrouve les joies de la mixité au Collège La Triloterie puis au Lycée de Royan où elle attrape malencontreusement la maladie du bon élève, orienté immanquablement en série scientifique malgré d'évidentes préférences littéraires. "Qui peut le plus, peut le moins" fut le diagnostic brillant posé par les carabins de l'orientation. Après deux ans d'exposition intensive au rayonnement des mathématiques et de la physique chimie, elle s'en sort de justesse en 1981, avec le Bac C en poche, et des notes hilarantes en mathématiques et en physique. Nostalgique de l'école primaire, elle obtient son diplôme d'institutrice à l'Ecole Normale de La Rochelle puis, incapable d'ôter sa blouse d'élève, poursuit des études de Droit à La Rochelle et à Poitiers. Nantie d'un D. E. A en 1991, elle se trouve chargée de travaux dirigés en Droit des Sociétés et d'étudiants de maîtrise pendant 7 ans à la Faculté de Poitiers puis analyste juridique pour une maison d'édition parisienne. . . à Saint-Palais-sur-Mer. Un aspect positif de la délocalisation et du télé travail. Pendant toutes ces années, elle mène une double vie, co-anime l'émission des sports sur la radio locale, Royan Fréquence, pige pour les quotidiens régionaux, contribue à l'exportation du Mondial Billes, trouve sa voix dans la chorale de Saint-Palais-sur-Mer et profite du patrimoine inépuisable du Pays Royannais. Fidèle à son habitude de courir en zig-zag, elle quitte le droit chemin en 2004 pour le droit d'auteur. Rédactrice pour le site Internet la Cyber Gazette des Bains de mer, elle écrit sur la vie locale et publie, en 2005, aux Éditions Bonne Anse, un ouvrage sur le bombardement et la libération de la poche de Royan, ce qui lui vaut de rédiger sa propre note biographique pour ledit site Internet, dans la rubrique Art et Culture, n'en déplaise aux "grands orientateurs" du Lycée.
Royan 39-45 guerre et plage. Tome 2, La libération
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- Nombre de pages320
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.9 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-916470-37-5
- EAN9782916470375
- Date de parution15/04/2017
- ÉditeurBonne Anse (Editions)
Résumé
Royan tombée par terre, c'est la faute de la guerre, aurait pu chanter un gavroche royannais, grimpé sur les ruines de sa ville écroulée. Dans la nuit du 5 janvier 1945, 350 bombardiers anglais ont anéanti la cité. Pourquoi ? Le mystère s'éclaircit. Ce bombardement est une des péripéties, la plus tragique, de l'histoire invraisemblable de la "Poche de Royan". En septembre 1944, les troupes allemandes en plein repli, s'enferment dans Royan, forteresse du mur de l'Atlantique, avec l'ordre de tenir jusqu'au bout.
Commence alors un huis clos tendu entre les occupants dont le moral s'effiloche, les civils s'appliquant à survivre, les résistants de l'intérieur et les FFI dont certains éléments sont incontrôlables. Lorsque le haut commandement s'en mêle, il s'emmêle. Malchance et négligences s'accumulent et les opérations prévues tournent et la catastrophe inutile. L'histoire s'achève en avril 1945, à quelques semaines de la reddition de l'Allemagne, par une libération spectaculaire qui permet la poursuite de l'expérimentation des bombes au napalm.
Ultime avatar, le pillage de la ville par certains libérateurs nettoyant la Poche avec trop de zèle. Pendant ces quelques mois, beaucoup d'habitants de cette "zone rouge" firent preuve de courage et de solidarité, de patience, d'ingéniosité et parfois même d'un certain sens de l'humour, bien que la liste des morts s'allongeât. Ce livre, suite du tome I consacré à l'Occupation, évoque les acteurs et les péripéties de ce long siège, contribuant ainsi - espèrent les auteurs - à faire découvrir l'histoire des Poches de l'Atlantique, épisode ultime et méconnu de la dernière guerre.
Commence alors un huis clos tendu entre les occupants dont le moral s'effiloche, les civils s'appliquant à survivre, les résistants de l'intérieur et les FFI dont certains éléments sont incontrôlables. Lorsque le haut commandement s'en mêle, il s'emmêle. Malchance et négligences s'accumulent et les opérations prévues tournent et la catastrophe inutile. L'histoire s'achève en avril 1945, à quelques semaines de la reddition de l'Allemagne, par une libération spectaculaire qui permet la poursuite de l'expérimentation des bombes au napalm.
Ultime avatar, le pillage de la ville par certains libérateurs nettoyant la Poche avec trop de zèle. Pendant ces quelques mois, beaucoup d'habitants de cette "zone rouge" firent preuve de courage et de solidarité, de patience, d'ingéniosité et parfois même d'un certain sens de l'humour, bien que la liste des morts s'allongeât. Ce livre, suite du tome I consacré à l'Occupation, évoque les acteurs et les péripéties de ce long siège, contribuant ainsi - espèrent les auteurs - à faire découvrir l'histoire des Poches de l'Atlantique, épisode ultime et méconnu de la dernière guerre.
Royan tombée par terre, c'est la faute de la guerre, aurait pu chanter un gavroche royannais, grimpé sur les ruines de sa ville écroulée. Dans la nuit du 5 janvier 1945, 350 bombardiers anglais ont anéanti la cité. Pourquoi ? Le mystère s'éclaircit. Ce bombardement est une des péripéties, la plus tragique, de l'histoire invraisemblable de la "Poche de Royan". En septembre 1944, les troupes allemandes en plein repli, s'enferment dans Royan, forteresse du mur de l'Atlantique, avec l'ordre de tenir jusqu'au bout.
Commence alors un huis clos tendu entre les occupants dont le moral s'effiloche, les civils s'appliquant à survivre, les résistants de l'intérieur et les FFI dont certains éléments sont incontrôlables. Lorsque le haut commandement s'en mêle, il s'emmêle. Malchance et négligences s'accumulent et les opérations prévues tournent et la catastrophe inutile. L'histoire s'achève en avril 1945, à quelques semaines de la reddition de l'Allemagne, par une libération spectaculaire qui permet la poursuite de l'expérimentation des bombes au napalm.
Ultime avatar, le pillage de la ville par certains libérateurs nettoyant la Poche avec trop de zèle. Pendant ces quelques mois, beaucoup d'habitants de cette "zone rouge" firent preuve de courage et de solidarité, de patience, d'ingéniosité et parfois même d'un certain sens de l'humour, bien que la liste des morts s'allongeât. Ce livre, suite du tome I consacré à l'Occupation, évoque les acteurs et les péripéties de ce long siège, contribuant ainsi - espèrent les auteurs - à faire découvrir l'histoire des Poches de l'Atlantique, épisode ultime et méconnu de la dernière guerre.
Commence alors un huis clos tendu entre les occupants dont le moral s'effiloche, les civils s'appliquant à survivre, les résistants de l'intérieur et les FFI dont certains éléments sont incontrôlables. Lorsque le haut commandement s'en mêle, il s'emmêle. Malchance et négligences s'accumulent et les opérations prévues tournent et la catastrophe inutile. L'histoire s'achève en avril 1945, à quelques semaines de la reddition de l'Allemagne, par une libération spectaculaire qui permet la poursuite de l'expérimentation des bombes au napalm.
Ultime avatar, le pillage de la ville par certains libérateurs nettoyant la Poche avec trop de zèle. Pendant ces quelques mois, beaucoup d'habitants de cette "zone rouge" firent preuve de courage et de solidarité, de patience, d'ingéniosité et parfois même d'un certain sens de l'humour, bien que la liste des morts s'allongeât. Ce livre, suite du tome I consacré à l'Occupation, évoque les acteurs et les péripéties de ce long siège, contribuant ainsi - espèrent les auteurs - à faire découvrir l'histoire des Poches de l'Atlantique, épisode ultime et méconnu de la dernière guerre.