Docteur habilité en histoire, le lieutenant-colonel Porte est chef du bureau Recherche du Cantre de doctrine d'emploi des forces à l'Ecole militaire. Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur les guerres du XXe siècle, dont La Conquête des colonies allemandes ; Du Caire à Damas et La Mobilisation industrielle.
Rompre le front ?. Novembre 1914-mars 1918 : Comment percer les lignes ennemies et retrouver la liberté de manoeuvre ?
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- Nombre de pages201
- PrésentationBroché
- Poids0.305 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,6 cm
- ISBN979-10-91561-84-6
- EAN9791091561846
- Date de parution10/06/2016
- ÉditeurSoteca
Résumé
De l'automne 1914 au printemps 1918, les armées des belligérants sur le front de France restent installées dans ce que l'on appelle très vite la "guerre de siège". L'impressionnant réseau défensif qui s'articule autour des tranchées, des barbelés et des mitrailleuses interdit tout retour aux manœuvres en rase campagne alors que les lignes sont figées de la Suisse à la mer du Nord, ce qui rend impossible d'espérer déborder par les ailes.
Pendant plus de trois ans, sortir de cette immobilité imposée est l'obsession de tous, soldats et généraux, civils et militaires. Chacun tente de proposer sa réponse : l'ouverture de nouveaux théâtres d'opérations sur des fronts extérieurs pour certains, la coordination croissante des efforts des différentes armées alliées, la mise au point de nouveaux matériels et de profondes évolutions doctrinales pour d'autres.
Prises isolément, aucune de ces propositions ne se révèlera suffisante. Et pourtant, à l'été 1918, l'endurance dont les poilus ont si longtemps fait preuve trouve sa récompense, puisque désormais les Alliés disposent d'une totale supériorité humaine et matérielle. La diplomatie, la politique, la technique, la doctrine sont ici mises en parallèle, essentiellement à partir des témoignages des combattants, soldats et chefs, pour mieux comprendre cette aberration historique et militaire que fut le front continu de la Grande Guerre.
Pendant plus de trois ans, sortir de cette immobilité imposée est l'obsession de tous, soldats et généraux, civils et militaires. Chacun tente de proposer sa réponse : l'ouverture de nouveaux théâtres d'opérations sur des fronts extérieurs pour certains, la coordination croissante des efforts des différentes armées alliées, la mise au point de nouveaux matériels et de profondes évolutions doctrinales pour d'autres.
Prises isolément, aucune de ces propositions ne se révèlera suffisante. Et pourtant, à l'été 1918, l'endurance dont les poilus ont si longtemps fait preuve trouve sa récompense, puisque désormais les Alliés disposent d'une totale supériorité humaine et matérielle. La diplomatie, la politique, la technique, la doctrine sont ici mises en parallèle, essentiellement à partir des témoignages des combattants, soldats et chefs, pour mieux comprendre cette aberration historique et militaire que fut le front continu de la Grande Guerre.
De l'automne 1914 au printemps 1918, les armées des belligérants sur le front de France restent installées dans ce que l'on appelle très vite la "guerre de siège". L'impressionnant réseau défensif qui s'articule autour des tranchées, des barbelés et des mitrailleuses interdit tout retour aux manœuvres en rase campagne alors que les lignes sont figées de la Suisse à la mer du Nord, ce qui rend impossible d'espérer déborder par les ailes.
Pendant plus de trois ans, sortir de cette immobilité imposée est l'obsession de tous, soldats et généraux, civils et militaires. Chacun tente de proposer sa réponse : l'ouverture de nouveaux théâtres d'opérations sur des fronts extérieurs pour certains, la coordination croissante des efforts des différentes armées alliées, la mise au point de nouveaux matériels et de profondes évolutions doctrinales pour d'autres.
Prises isolément, aucune de ces propositions ne se révèlera suffisante. Et pourtant, à l'été 1918, l'endurance dont les poilus ont si longtemps fait preuve trouve sa récompense, puisque désormais les Alliés disposent d'une totale supériorité humaine et matérielle. La diplomatie, la politique, la technique, la doctrine sont ici mises en parallèle, essentiellement à partir des témoignages des combattants, soldats et chefs, pour mieux comprendre cette aberration historique et militaire que fut le front continu de la Grande Guerre.
Pendant plus de trois ans, sortir de cette immobilité imposée est l'obsession de tous, soldats et généraux, civils et militaires. Chacun tente de proposer sa réponse : l'ouverture de nouveaux théâtres d'opérations sur des fronts extérieurs pour certains, la coordination croissante des efforts des différentes armées alliées, la mise au point de nouveaux matériels et de profondes évolutions doctrinales pour d'autres.
Prises isolément, aucune de ces propositions ne se révèlera suffisante. Et pourtant, à l'été 1918, l'endurance dont les poilus ont si longtemps fait preuve trouve sa récompense, puisque désormais les Alliés disposent d'une totale supériorité humaine et matérielle. La diplomatie, la politique, la technique, la doctrine sont ici mises en parallèle, essentiellement à partir des témoignages des combattants, soldats et chefs, pour mieux comprendre cette aberration historique et militaire que fut le front continu de la Grande Guerre.