Roman francophone et modernité

Par : Olga Hél-Bongo, Morgan Faulkner
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  • Nombre de pages278
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.44 kg
  • Dimensions15,7 cm × 23,9 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-36013-376-5
  • EAN9782360133765
  • Date de parution25/08/2016
  • CollectionItinéraires francophones
  • ÉditeurRiveneuve

Résumé

De V.Y. Mudimbe à Ahmadou Kourouma en passant par Marie NDiaye, Scholastique Mukasonga, Maryse Condé, Gisèle Pineau, Francis Bebey, Chantal Spitz ou Jean-Marc Pambrun, la relation du romancier à la modernité prend racine dans la double irréductibilité à la beauté absolue et à la représentation contingente du monde. Douze contributions dans cet ouvrage explorent voix et voies du roman francophone selon quatre critères de la modernité repris de la définition qu'en donne Baudelaire dans Le peintre de la vie moderne.
Il s'agit de l'expérience du temps, de la dissolution des régimes de classifications classiques, de l'esthétique de la fragmentation ou de l'inachèvement et de la crise du sujet, du sens et du référent. Outre une série de thèmes souvent abordés - dictatures, esclavage, colonisation, catastrophe des indépendances, chaos, folie, absurdité, oralité dans l'écriture... - une constante domine l'ensemble : la critique sur l'univers social dépeint et sur l'activité d'écriture.
S'ajoutent une multiplicité et une hétérogénéité de traits formels, langagiers, génériques et stylistiques. Le texte francophone, par essence, s'articule à d'autres textes et s'ouvre au monde pour former un réseau intertextuel centré autour d'une démarche romanesque.
De V.Y. Mudimbe à Ahmadou Kourouma en passant par Marie NDiaye, Scholastique Mukasonga, Maryse Condé, Gisèle Pineau, Francis Bebey, Chantal Spitz ou Jean-Marc Pambrun, la relation du romancier à la modernité prend racine dans la double irréductibilité à la beauté absolue et à la représentation contingente du monde. Douze contributions dans cet ouvrage explorent voix et voies du roman francophone selon quatre critères de la modernité repris de la définition qu'en donne Baudelaire dans Le peintre de la vie moderne.
Il s'agit de l'expérience du temps, de la dissolution des régimes de classifications classiques, de l'esthétique de la fragmentation ou de l'inachèvement et de la crise du sujet, du sens et du référent. Outre une série de thèmes souvent abordés - dictatures, esclavage, colonisation, catastrophe des indépendances, chaos, folie, absurdité, oralité dans l'écriture... - une constante domine l'ensemble : la critique sur l'univers social dépeint et sur l'activité d'écriture.
S'ajoutent une multiplicité et une hétérogénéité de traits formels, langagiers, génériques et stylistiques. Le texte francophone, par essence, s'articule à d'autres textes et s'ouvre au monde pour former un réseau intertextuel centré autour d'une démarche romanesque.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
de la modernité à la créativité en ''périphérie''
Le roman francophone, celui dit de la périphérie, est à mon sens, nourri même de ce que bien de penseurs appellent la modernité. Le choc que représentent les rencontres culturelles, est donc le carburant qui alimente la créativité et la production littéraire des zones ''periphériques''. Ce titre est très évocateur et illustre un texte, sinon, indispensable à lire pour comprendre la littérature francophone. J'aimerais tant le lire...
Le roman francophone, celui dit de la périphérie, est à mon sens, nourri même de ce que bien de penseurs appellent la modernité. Le choc que représentent les rencontres culturelles, est donc le carburant qui alimente la créativité et la production littéraire des zones ''periphériques''. Ce titre est très évocateur et illustre un texte, sinon, indispensable à lire pour comprendre la littérature francophone. J'aimerais tant le lire...