RITZ.. Une histoire plus belle que la légende

Par : Claude Roulet

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  • Nombre de pages188
  • PrésentationBroché
  • Poids0.275 kg
  • Dimensions13,5 cm × 22,1 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-912517-04-4
  • EAN9782912517043
  • Date de parution26/05/1998
  • ÉditeurQuai Voltaire

Résumé

"Lorsque je rêve de la vie après la mort, l'action se passe toujours au Ritz" . Hemingway affectionnait l'hôtel de la place Vendôme, qui ouvre à nouveau ses portes après quatre ans et 140 millions d'euros de travaux. Si le romancier américain se vantait d'avoir été le premier à en franchir le seuil à la Libération, l'Histoire retient que le Ritz fut, après le Trocadéro, le deuxième bâtiment parisien sur lequel flotta à nouveau le drapeau tricolore.
Inauguré en 1898, dirigé par César Ritz puis par son fils Charles avant d'être revendu, en 1979, à Mohammed Al-Fayed, l'établissement est devenu mythique grâce à sa clientèle. Marcel Proust, habitué des lieux, y fêta son prix Goncourt en 1920. Un soir, au bar, Scott Fitzerald, évincé par une jeune femme, mangea pétale après pétale le bouquet d'orchidées qu'il lui destinait. Pendant la guerre, lors d'une alerte, Coco Chanel se glissa dans l'abri anti-aérien du sous-sol, suivie à bonne distance par sa domestique portant son masque à gaz sur un coussin.
Goering choisit le hall pour exhiber comme un jouet son bâton de maréchal tout neuf, constellé de diamants. Le restaurant servit de décor au coup de foudre d'Ingrid Bergman et du photographe Robert Capa, puis, bien plus tard, au dernier dîner de la princesse Diana. Comme le rappelle Claude Roulet, le Ritz fut théâtre de tous les possibles : la métamorphose du rez-de-chaussée en réplique miniature du souk de Casablanca le temps d'une fête, ou encore, parce qu'une riche cliente réclamait hors saison un plateau d'oursins, l'affrètement d'un avion-taxi...
"Lorsque je rêve de la vie après la mort, l'action se passe toujours au Ritz" . Hemingway affectionnait l'hôtel de la place Vendôme, qui ouvre à nouveau ses portes après quatre ans et 140 millions d'euros de travaux. Si le romancier américain se vantait d'avoir été le premier à en franchir le seuil à la Libération, l'Histoire retient que le Ritz fut, après le Trocadéro, le deuxième bâtiment parisien sur lequel flotta à nouveau le drapeau tricolore.
Inauguré en 1898, dirigé par César Ritz puis par son fils Charles avant d'être revendu, en 1979, à Mohammed Al-Fayed, l'établissement est devenu mythique grâce à sa clientèle. Marcel Proust, habitué des lieux, y fêta son prix Goncourt en 1920. Un soir, au bar, Scott Fitzerald, évincé par une jeune femme, mangea pétale après pétale le bouquet d'orchidées qu'il lui destinait. Pendant la guerre, lors d'une alerte, Coco Chanel se glissa dans l'abri anti-aérien du sous-sol, suivie à bonne distance par sa domestique portant son masque à gaz sur un coussin.
Goering choisit le hall pour exhiber comme un jouet son bâton de maréchal tout neuf, constellé de diamants. Le restaurant servit de décor au coup de foudre d'Ingrid Bergman et du photographe Robert Capa, puis, bien plus tard, au dernier dîner de la princesse Diana. Comme le rappelle Claude Roulet, le Ritz fut théâtre de tous les possibles : la métamorphose du rez-de-chaussée en réplique miniature du souk de Casablanca le temps d'une fête, ou encore, parce qu'une riche cliente réclamait hors saison un plateau d'oursins, l'affrètement d'un avion-taxi...