Été 2001. Daisy est une actrice célèbre. Elle est surtout la maman de Joseph. Lorsqu’elle s’engage pour un tournage à Montpellier, elle en profite pour quitter Paris et s’installer dans sa ville natale. Elle commence une nouvelle vie avec son fils, son mari, ainsi qu’avec Filipa, sa gouvernante, Louise, la fille de cette dernière et Hubert, son adorable chien. Elle regrette d’avoir manqué des moments importants de l’enfance de Joseph, tels que ses premiers pas, aussi elle décide de passer plus de temps avec lui. Elle quitte même le plateau, pour se promener dans le petit train
blanc qui parcourt la ville. Elle veut rattraper le temps passe loin de lui. Hélas, elle apprend qu’elle est atteinte d’un cancer à un stade avancé.
Elle décide de laisser une trace à son fils pour l’aider à surmonter son chagrin de la perte de sa maman. Dans le plus grand secret, elle rédige six lettres qui lui sont remises par son agent et ami, à des âges charnières. Joseph reçoit la première, quelques mois avant ses onze ans, à la mort de Daisy.
J’ai été très touchée par cette maman qui accompagne son fils par-delà la mort. A travers les écrits qu’elle lui a légués, elle espère pouvoir l’aider à grandir, malgré le manque maternel, lui inculquer des valeurs et lui dire qu’elle ne l’a pas abandonné, malgré son absence. J’ai été émue par cette mère qui observe son fils, sans pouvoir interagir avec lui. Elle n’est plus là pour le consoler, lorsque le poids est trop lourd, il ne peut s’épancher sur ses joies ou ses émois, elle ne peut l’empêcher de faire des erreurs, mais le lien existe à travers son courrier. Grâce à une touche de fantastique, Daisy sait ce que traverse son enfant, mais lui, doit apprendre à vivre sans elle. La détresse de ce garçon, orphelin de mère, m’a remuée. C’est une projection de mes peurs de maman si je venais à disparaître trop tôt. J’ai ressenti énormément de tendresse pour Joseph et je me suis sentie très proche de Daisy.
Pourtant, malgré les sujets du deuil et de l’absence, Rien n’est écrit n’est pas un roman triste. Il contient beaucoup d’humour, surtout lorsque Daisy doit apprivoiser sa nouvelle apparence. Il comporte, aussi, beaucoup d’espoir, car la mort ne peut pas rompre le lien mère-enfant. Enfin, il est surtout une histoire remplie d’émotion. Je l’ai adoré.
Une histoire remplie d’émotion
Été 2001. Daisy est une actrice célèbre. Elle est surtout la maman de Joseph. Lorsqu’elle s’engage pour un tournage à Montpellier, elle en profite pour quitter Paris et s’installer dans sa ville natale. Elle commence une nouvelle vie avec son fils, son mari, ainsi qu’avec Filipa, sa gouvernante, Louise, la fille de cette dernière et Hubert, son adorable chien. Elle regrette d’avoir manqué des moments importants de l’enfance de Joseph, tels que ses premiers pas, aussi elle décide de passer plus de temps avec lui. Elle quitte même le plateau, pour se promener dans le petit train blanc qui parcourt la ville. Elle veut rattraper le temps passe loin de lui. Hélas, elle apprend qu’elle est atteinte d’un cancer à un stade avancé.
Elle décide de laisser une trace à son fils pour l’aider à surmonter son chagrin de la perte de sa maman. Dans le plus grand secret, elle rédige six lettres qui lui sont remises par son agent et ami, à des âges charnières. Joseph reçoit la première, quelques mois avant ses onze ans, à la mort de Daisy.
J’ai été très touchée par cette maman qui accompagne son fils par-delà la mort. A travers les écrits qu’elle lui a légués, elle espère pouvoir l’aider à grandir, malgré le manque maternel, lui inculquer des valeurs et lui dire qu’elle ne l’a pas abandonné, malgré son absence. J’ai été émue par cette mère qui observe son fils, sans pouvoir interagir avec lui. Elle n’est plus là pour le consoler, lorsque le poids est trop lourd, il ne peut s’épancher sur ses joies ou ses émois, elle ne peut l’empêcher de faire des erreurs, mais le lien existe à travers son courrier. Grâce à une touche de fantastique, Daisy sait ce que traverse son enfant, mais lui, doit apprendre à vivre sans elle. La détresse de ce garçon, orphelin de mère, m’a remuée. C’est une projection de mes peurs de maman si je venais à disparaître trop tôt. J’ai ressenti énormément de tendresse pour Joseph et je me suis sentie très proche de Daisy.
Pourtant, malgré les sujets du deuil et de l’absence, Rien n’est écrit n’est pas un roman triste. Il contient beaucoup d’humour, surtout lorsque Daisy doit apprivoiser sa nouvelle apparence. Il comporte, aussi, beaucoup d’espoir, car la mort ne peut pas rompre le lien mère-enfant. Enfin, il est surtout une histoire remplie d’émotion. Je l’ai adoré.