Né en 1953, Daniel Cohen est économiste, agrégé de mathématiques et de sciences économiques, docteur en sciences économiques.
Richesse du monde, pauvretés des nations
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- Nombre de pages167
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.15 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-08-123785-8
- EAN9782081237858
- Date de parution14/04/2010
- CollectionChamps Essais
- ÉditeurFlammarion
Résumé
"Tout est faux ou presque des peurs qui attribuent à la "mondialisation" les crises que connaissent les pays riches. Les transformations en cours s'observent en effet dans n'importe lequel des métiers, des secteurs, qu'ils soient en contact ou pas avec l'économie mondiale. " Par ce diagnostic, l'auteur invite à réinterpréter les transformations du monde contemporain à l'aune d'une nouvelle révolution industrielle.
C'est à celle-ci et aux mutations internes du capitalisme qu'il faut imputer la responsabilité du chômage et des inégalités contemporaines, et non au commerce avec les pays pauvres, aux délocalisations et à la "concurrence déloyale ". Ce n'est pas la mondialisation qui est cause de la précarisation du monde du travail mais bien le contraire : notre propension à transformer la nature du travail offre à la mondialisation l'espace où se loger et les moyens de développer ses effets pervers.
Un renversement de perspective qui oblige à repenser les moyens de combattre les crises. Cet ouvrage a été salué par L'Express comme "le livre le plus clair et le moins ennuyeux que l'on ait eu depuis longtemps".
C'est à celle-ci et aux mutations internes du capitalisme qu'il faut imputer la responsabilité du chômage et des inégalités contemporaines, et non au commerce avec les pays pauvres, aux délocalisations et à la "concurrence déloyale ". Ce n'est pas la mondialisation qui est cause de la précarisation du monde du travail mais bien le contraire : notre propension à transformer la nature du travail offre à la mondialisation l'espace où se loger et les moyens de développer ses effets pervers.
Un renversement de perspective qui oblige à repenser les moyens de combattre les crises. Cet ouvrage a été salué par L'Express comme "le livre le plus clair et le moins ennuyeux que l'on ait eu depuis longtemps".
"Tout est faux ou presque des peurs qui attribuent à la "mondialisation" les crises que connaissent les pays riches. Les transformations en cours s'observent en effet dans n'importe lequel des métiers, des secteurs, qu'ils soient en contact ou pas avec l'économie mondiale. " Par ce diagnostic, l'auteur invite à réinterpréter les transformations du monde contemporain à l'aune d'une nouvelle révolution industrielle.
C'est à celle-ci et aux mutations internes du capitalisme qu'il faut imputer la responsabilité du chômage et des inégalités contemporaines, et non au commerce avec les pays pauvres, aux délocalisations et à la "concurrence déloyale ". Ce n'est pas la mondialisation qui est cause de la précarisation du monde du travail mais bien le contraire : notre propension à transformer la nature du travail offre à la mondialisation l'espace où se loger et les moyens de développer ses effets pervers.
Un renversement de perspective qui oblige à repenser les moyens de combattre les crises. Cet ouvrage a été salué par L'Express comme "le livre le plus clair et le moins ennuyeux que l'on ait eu depuis longtemps".
C'est à celle-ci et aux mutations internes du capitalisme qu'il faut imputer la responsabilité du chômage et des inégalités contemporaines, et non au commerce avec les pays pauvres, aux délocalisations et à la "concurrence déloyale ". Ce n'est pas la mondialisation qui est cause de la précarisation du monde du travail mais bien le contraire : notre propension à transformer la nature du travail offre à la mondialisation l'espace où se loger et les moyens de développer ses effets pervers.
Un renversement de perspective qui oblige à repenser les moyens de combattre les crises. Cet ouvrage a été salué par L'Express comme "le livre le plus clair et le moins ennuyeux que l'on ait eu depuis longtemps".