André Dhôtel est né en 1900 à Attigny dans les Ardennes. Enfant, il fait souvent l'école buissonnière et parcourt la campagne, comme le jeune héros de son futur ouvrage, "L'enfant qui disait n'importe quoi". Ses fréquentes escapades ne l'empêcheront pourtant pas de passer une licence de philosophie. En 1924, il part pour Athènes, où il demeurera quatre ans. Trois de ses livres, dont "L'Ile de la croix d'or", sont empreints de la lumière si particulière de la Grèce. En 1955, il obtient le prix Femina pour "Le pays où l'on n'arrive jamais" puis le grand prix de l'Académie française en 1974, et enfin le grand prix national des Lettres en 1975. André Dhôtel est mort à Paris en 1991.
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- Nombre de pages100
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.155 kg
- Dimensions12,0 cm × 19,0 cm × 0,9 cm
- ISBN2-86853-102-4
- EAN9782868531025
- Date de parution22/11/2001
- ÉditeurTemps qu'il fait (Le)
Résumé
Chronique buissonnière et récit autobiographique, Retour évoque les retrouvailles de l'auteur - alors âgé de dix-neuf ans - avec son pays natal. Il est prétexte à une belle rêverie sur les Ardennes, le lieu idéal des vacances, qu'on peut aussi lire comme une sorte de traité d'amour des lieux, dont les rubriques ont pour titres : Paresse, Lectures, Rencontres... Étude dénuée de raisonnements (comme il convient) et " dépourvue de conclusions " (mais non d'humour), étude sensible aux seuls attachements infimes et inexplicables, et forte de " cette assurance que nous sommes dans une nature où l'essentiel est inexploré, et où s'éveillent d'impossibles féeries autrement bouleversantes que les châteaux de pierreries si faciles à imaginer dans nos contes. "
Chronique buissonnière et récit autobiographique, Retour évoque les retrouvailles de l'auteur - alors âgé de dix-neuf ans - avec son pays natal. Il est prétexte à une belle rêverie sur les Ardennes, le lieu idéal des vacances, qu'on peut aussi lire comme une sorte de traité d'amour des lieux, dont les rubriques ont pour titres : Paresse, Lectures, Rencontres... Étude dénuée de raisonnements (comme il convient) et " dépourvue de conclusions " (mais non d'humour), étude sensible aux seuls attachements infimes et inexplicables, et forte de " cette assurance que nous sommes dans une nature où l'essentiel est inexploré, et où s'éveillent d'impossibles féeries autrement bouleversantes que les châteaux de pierreries si faciles à imaginer dans nos contes. "