Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Publiées sous un pseudonyme en 1781 et rééditées à la veille de la Révolution, les Réflexions sur l'esclavage des nègres de Condorcet sont à...
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Résumé
Publiées sous un pseudonyme en 1781 et rééditées à la veille de la Révolution, les Réflexions sur l'esclavage des nègres de Condorcet sont à ce jour le seul texte qu'un philosophe ait consacré de façon exclusive à l'esclavage. Ce livre de réflexion s'interroge sur les préjugés qui s'opposent à l'abolition de l'esclavage, et sur la meilleure méthode pour les combattre. Mais c'est aussi bien entendu un livre de dénonciation et de combat, au nom des lumières, pour lutter contre l'influence des intérêts esclavagistes dans l'opinion française, préparer cette dernière à l'abolition de l'esclavage des noirs et convaincre un législateur " éclairé ". Avec le recul, les limites de la pensée de Condorcet sont certes évidentes : il n'est lui-même pas exempt de préjugés à l'encontre des noirs esclaves, ne pense pas leur émancipation comme une entrée dans la citoyenneté, et ne se préoccupe pas sérieusement de leur éducation ou de leur situation économique. Pourtant, ces Réflexions sont bien un texte pionnier, sans doute le premier manifeste abolitionniste écrit en France. C'est aux hommes du XIXe siècle et pour une part aux esclaves eux-mêmes que reviendra le mérite de franchir le pas.
Sommaire
De l'injustice de l'esclavage des nègres, considérée par rapport à leurs maîtres
Raisons dont on se sert pour excuser l'esclavage des nègres
De prétendue nécessité de l'esclavage des nègres, considérée par rapport au droit qui peut en résulter pour leurs maîtres
Si un homme peut acheter un autre homme de lui-même
De l'injustice de l'esclavage des nègres, considérée par rapport au législateur
Les colonies à sucre et à indigo ne peuvent-elles être cultivées que par des nègres esclaves ?
Qu'il faut détruire l'esclavage des nègres, et que leurs maîtres ne peuvent exiger aucun dédommagement
Examen des raisons qui peuvent empêcher la puissance législatrice des Etats où l'esclavage des Noirs est toléré, de remplir par une loi d'affranchissement général le devoir de justice qui l'oblige à leur rendre la liberté
Des moyens de détruire l'esclavage des nègres par degrés
Sur les projets pour adoucir l'esclavage des nègres
Publiées sous un pseudonyme en 1781 et rééditées à la veille de la Révolution, les Réflexions sur l'esclavage des nègres de Condorcet sont à ce jour le seul texte qu'un philosophe ait consacré de façon exclusive à l'esclavage. Ce livre de réflexion s'interroge sur les préjugés qui s'opposent à l'abolition de l'esclavage, et sur la meilleure méthode pour les combattre. Mais c'est aussi bien entendu un livre de dénonciation et de combat, au nom des Lumières, pour lutter contre l'influence des intérêts esclavagistes dans l'opinion française, préparer cette dernière à l'abolition de l'esclavage des noirs et convaincre un législateur "éclairé" . Avec le recul, les limites de la pensée de Condorcet sont certes évidentes : il n'est lui-même pas exempt de préjugés à l'encontre des noirs esclaves, ne pense pas leur émancipation comme une entrée dans la citoyenneté, et ne se préoccupe pas sérieusement de leur éducation ou de leur situation économique. Pourtant, ces Réflexions sont bien un texte pionnier, sans doute le premier manifeste abolitionniste écrit en France.