Récits de Mathieu Mestokosho, chasseur innu
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- Nombre de pages200
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.2 kg
- Dimensions12,9 cm × 19,1 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-7646-2487-6
- EAN9782764624876
- Date de parution30/05/2018
- CollectionBoréal Compact
- ÉditeurBoréal (Editions du)
- PréfacierGérard Bouchard
Résumé
Il y avait parmi les Innus plusieurs Mathieu Mestokosho, des hommes magistraux, et autant de vieilles femmes parlantes, savantes et souriantes. Fut sauvé ce qui fut sauvé. Ils sont morts et elles sont parties. Mais il en reste quelque chose, une philosophie, des chansons, des sons, de la poésie. Ne reste qu'à écouter, entendre, comprendre, apprendre et apprécier. En 1970, jeune anthropologue, Serge Bouchard recueillait les propos de Mathieu Mestokosho, chasseur montagnais de la Minganie.
Grâce à la parole de Mathieu, c'est tout un monde qui revit, celui des enfants de la Terre de Caïn que les colons européens avaient choisi d'ignorer. Heureusement pour nous, la mémoire de Mathieu Mestokosho nous permet de nous réapproprier - ; bien tardivement - ; toute une part de notre héritage culturel que nous avons failli laisser perdre. " Il y avait parmi les Innus plusieurs Mathieu Mestokosho, des hommes magistraux, et autant de vieilles femmes parlantes, savantes et souriantes.
Fut sauvé ce qui fut sauvé. Ils sont morts et elles sont parties. Mais il en reste quelque chose, une philosophie, des chansons, des sons, de la poésie. Ne reste qu'à écouter, entendre, comprendre, apprendre et apprécier. Discours incantatoire de fierté et d'orgueil, représentation de l'humaine humanité, telle que nous la recherchons tant de nos jours. " Serge Bouchard
Grâce à la parole de Mathieu, c'est tout un monde qui revit, celui des enfants de la Terre de Caïn que les colons européens avaient choisi d'ignorer. Heureusement pour nous, la mémoire de Mathieu Mestokosho nous permet de nous réapproprier - ; bien tardivement - ; toute une part de notre héritage culturel que nous avons failli laisser perdre. " Il y avait parmi les Innus plusieurs Mathieu Mestokosho, des hommes magistraux, et autant de vieilles femmes parlantes, savantes et souriantes.
Fut sauvé ce qui fut sauvé. Ils sont morts et elles sont parties. Mais il en reste quelque chose, une philosophie, des chansons, des sons, de la poésie. Ne reste qu'à écouter, entendre, comprendre, apprendre et apprécier. Discours incantatoire de fierté et d'orgueil, représentation de l'humaine humanité, telle que nous la recherchons tant de nos jours. " Serge Bouchard
Il y avait parmi les Innus plusieurs Mathieu Mestokosho, des hommes magistraux, et autant de vieilles femmes parlantes, savantes et souriantes. Fut sauvé ce qui fut sauvé. Ils sont morts et elles sont parties. Mais il en reste quelque chose, une philosophie, des chansons, des sons, de la poésie. Ne reste qu'à écouter, entendre, comprendre, apprendre et apprécier. En 1970, jeune anthropologue, Serge Bouchard recueillait les propos de Mathieu Mestokosho, chasseur montagnais de la Minganie.
Grâce à la parole de Mathieu, c'est tout un monde qui revit, celui des enfants de la Terre de Caïn que les colons européens avaient choisi d'ignorer. Heureusement pour nous, la mémoire de Mathieu Mestokosho nous permet de nous réapproprier - ; bien tardivement - ; toute une part de notre héritage culturel que nous avons failli laisser perdre. " Il y avait parmi les Innus plusieurs Mathieu Mestokosho, des hommes magistraux, et autant de vieilles femmes parlantes, savantes et souriantes.
Fut sauvé ce qui fut sauvé. Ils sont morts et elles sont parties. Mais il en reste quelque chose, une philosophie, des chansons, des sons, de la poésie. Ne reste qu'à écouter, entendre, comprendre, apprendre et apprécier. Discours incantatoire de fierté et d'orgueil, représentation de l'humaine humanité, telle que nous la recherchons tant de nos jours. " Serge Bouchard
Grâce à la parole de Mathieu, c'est tout un monde qui revit, celui des enfants de la Terre de Caïn que les colons européens avaient choisi d'ignorer. Heureusement pour nous, la mémoire de Mathieu Mestokosho nous permet de nous réapproprier - ; bien tardivement - ; toute une part de notre héritage culturel que nous avons failli laisser perdre. " Il y avait parmi les Innus plusieurs Mathieu Mestokosho, des hommes magistraux, et autant de vieilles femmes parlantes, savantes et souriantes.
Fut sauvé ce qui fut sauvé. Ils sont morts et elles sont parties. Mais il en reste quelque chose, une philosophie, des chansons, des sons, de la poésie. Ne reste qu'à écouter, entendre, comprendre, apprendre et apprécier. Discours incantatoire de fierté et d'orgueil, représentation de l'humaine humanité, telle que nous la recherchons tant de nos jours. " Serge Bouchard