Coup de coeur
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  • Nombre de pages632
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.335 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 2,7 cm
  • ISBN978-2-253-06798-6
  • EAN9782253067986
  • Date de parution11/05/2016
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche
  • TraducteurAnouk Neuhoff

Résumé

Un manoir majestueux : Manderley. Un an après sa mort, le charme noir de l'ancienne propriétaire, Rebecca de Winter, hante encore le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse, jeune et timide, de Maxim de Winter pourra-t-elle échapper à cette ombre, à son souvenir ? Immortalisé au cinéma par Hitchcock en 1940, le chef-d'oeuvre de Daphné du Maurier a fasciné plus de trente millions de lecteurs à travers le monde.
Il fait aujourd'hui l'objet d'une traduction inédite qui a su restituer toute la puissance d'évocation du texte originel et en révéler la noirceur. Cette nouvelle traduction retranscrit remarquablement les atmosphères nimbées de mystère et l'ambiguïté - si chère à Hitchcock - des personnages, qu'ils soient morts ou vifs. Marine de Tilly, Le Point. Rebecca est un de ces romans qui hantent un esprit toute une vie.
Olivia Mauriac, Figaro Madame. Une excellente traduction qui permet de redécouvrir ce roman indémodable et subtil. Olivia de Lamberterie, Elle.
Un manoir majestueux : Manderley. Un an après sa mort, le charme noir de l'ancienne propriétaire, Rebecca de Winter, hante encore le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse, jeune et timide, de Maxim de Winter pourra-t-elle échapper à cette ombre, à son souvenir ? Immortalisé au cinéma par Hitchcock en 1940, le chef-d'oeuvre de Daphné du Maurier a fasciné plus de trente millions de lecteurs à travers le monde.
Il fait aujourd'hui l'objet d'une traduction inédite qui a su restituer toute la puissance d'évocation du texte originel et en révéler la noirceur. Cette nouvelle traduction retranscrit remarquablement les atmosphères nimbées de mystère et l'ambiguïté - si chère à Hitchcock - des personnages, qu'ils soient morts ou vifs. Marine de Tilly, Le Point. Rebecca est un de ces romans qui hantent un esprit toute une vie.
Olivia Mauriac, Figaro Madame. Une excellente traduction qui permet de redécouvrir ce roman indémodable et subtil. Olivia de Lamberterie, Elle.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
Brune - 1Decitre Levallois-Perret
5/5
Quand est-ce que les fantomes cessent de nous hanter ?
Si Rebecca est un monument de la littérature, c'est auprès d'Alfred Hitchcock qu'il a remporté ses lettres de noblesse. Ce roman sombre et psychologique met en scène comme jamais auparavant le deuil et le souvenir dans une ambiance gothique à faire froid dans le dos...
Si Rebecca est un monument de la littérature, c'est auprès d'Alfred Hitchcock qu'il a remporté ses lettres de noblesse. Ce roman sombre et psychologique met en scène comme jamais auparavant le deuil et le souvenir dans une ambiance gothique à faire froid dans le dos...
Yann GDecitre Ecully
5/5
Daphné du Maurier
« J’ai rêvé la nuit dernière que je retournais à Manderley. » Le roman s’ouvre sur cette phrase prémonitoire : vous rêverez vous aussi du manoir de Manderley, vous penserez à Rebecca de Winter, à sa présence inquiétante. 'Rebecca', roman le plus célèbre de Daphné du Maurier, est un roman (presque un thriller) génial à l’atmosphère qui vous marque longuement. Un classique à (re)lire absolument dans une excellente traduction.
« J’ai rêvé la nuit dernière que je retournais à Manderley. » Le roman s’ouvre sur cette phrase prémonitoire : vous rêverez vous aussi du manoir de Manderley, vous penserez à Rebecca de Winter, à sa présence inquiétante. 'Rebecca', roman le plus célèbre de Daphné du Maurier, est un roman (presque un thriller) génial à l’atmosphère qui vous marque longuement. Un classique à (re)lire absolument dans une excellente traduction.
Sylvie ThomassonDecitre Part-Dieu
5/5
Manderley
Max de Winter, aristocrate anglais erre à Monte Carlo afin d'oublier le drame qui l'a frappé un an plus tôt; Il y fait la connaissance d'une demoiselle de compagnie qui va devenir sa nouvelle épouse. Jeune, timide mais totalement éprise de cet homme, celle-ci va devoir affronter le fantôme de la défunte Rébecca de Winter qui règne dans toutes les parcelles de Manderley; Si vous n'avez jamais lu ce livre, c'est le moment! Une nouvelle traduction est parue et redonne à ce classique un nouvel éclairage sans enlever son mystère et sa saveur d'antan. Un grand bonheur de lecture !
Max de Winter, aristocrate anglais erre à Monte Carlo afin d'oublier le drame qui l'a frappé un an plus tôt; Il y fait la connaissance d'une demoiselle de compagnie qui va devenir sa nouvelle épouse. Jeune, timide mais totalement éprise de cet homme, celle-ci va devoir affronter le fantôme de la défunte Rébecca de Winter qui règne dans toutes les parcelles de Manderley; Si vous n'avez jamais lu ce livre, c'est le moment! Une nouvelle traduction est parue et redonne à ce classique un nouvel éclairage sans enlever son mystère et sa saveur d'antan. Un grand bonheur de lecture !

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.3/5
sur 6 notes dont 4 avis lecteurs
Un roman angoissant et surprenant !
Ce roman est donc absolument troublant et déchirant, véritable traumatisme pour le lecteur, qui voudra lire à la suite de "Rebecca", tous les autres ouvrages de Daphné du Maurier ! Car il ne faut pas oublier qu'elle est l'auteure des "Oiseaux", aussi adapté à l'écran par Hitchcock en 1963, mais aussi de "Ma Cousine Rachel", sorti en 2017 au cinéma. Nous nous retrouvons comme un lecteur invité à visiter ces lieux qui effraient, tout autant qu'ils fascinent. Après tout, qui n'a jamais rêvé de posséder une telle bâtisse, de passer ses vacances en ces lieux séculaires, reliques d'un passé immortel, palpitant encore sous les pas des domestiques, le bruissement des étoffes, le tic-tac de l'horloge, la senteur du thé anglais ? Rebecca s'offre donc comme une invitation au voyage, à laquelle nous aspirons avec gaieté et ingénuité, tout comme notre personnage principal, cette jeune narratrice dont nous ignorons d'ailleurs le prénom ; sans nous rendre compte, si ce n'est que trop tard, que c'est bien l'enfer qui nous attend, derrière les grilles de cette riche propriété... Un enfer amplement relayé par l'appel du large, les flots tempétueux et inquiétants de la mer, les roulements d'écume et les effluves d'eau salée. La mer incarne ainsi un puissant facteur dans ce roman, véhiculant mystères et angoisses, de la psychose même, car nous comprenons à notre lecture, que c'est ici que tout se joue, dans les abysses d'une mer imprévisible et près de laquelle nous nous refusons à approcher ; quoi que dévorés par la curiosité... Une mer sauvage qui emporte avec elle ses secrets et le silence des morts qui ne peuvent plus parler, mais qui sont pourtant bien présents, aussi palpables et envahissants, qu'un être humain sur ses deux jambes. Nous avons donc bien affaire à un bonheur fragile comme du cristal et à un environnement apaisant, dans lequel nous aimerions - mourir - nous reposer à l'ombre des marronniers en fleurs. Mais cette accalmie n'a d'existence que pour mieux dissimuler le drame qui est en train de se jouer et dont nous sentons immédiatement la problématique. Quelque chose n'est pas normal à Manderley, quelque chose ne va pas. Tout y est trop parfait, trop utopique, trop bucolique et il ne peut se cacher sous ces apparences de maison de campagne idyllique, que la fièvre du sang, que l'oeuvre d'un démon, que la honte d'un péché, rien que le meurtre, ni plus, ni moins, barbare et presque injuste, finalement... La fin de Rebecca, quant à elle, se révèle être un véritable choc pour le lecteur, qui en ressort bouleversé ! "J'ai rêvé l'autre nuit que je retournais à Manderley." La boucle est enfin bouclée et la révélation surprenante, suffocante, car elle nous est révélée de manière très succincte, comme si de rien n'était, comme si l'information concernant l'incendie de Manderley n'avait aucune importance ! Celle qui horrifie pourtant un lecteur qui comprend trop tard - tout comme Maxim et sa femme - l'implosion de cette paisible vie d'époux... À la fin de l'ouvrage - mais c'est le cas depuis le début -, la grande demeure anglaise n'est alors plus qu'un brasier. le mariage, aussi bien que le bonheur conjugal déjà fébrile, disparaissent dans les cendres, l'épais nuage de fumée et le crépitement des flammes dévorants tout sur leur passage. le lecteur devra alors relire plusieurs fois les dernières lignes du roman, ne pouvant concevoir que ce chef-d'oeuvre de l'écriture psychologique, à l'instar d'une claustrale pièce de théâtre minimaliste, puisse s'achever de la sorte ! Mais c'est bien un drame à la poigne d'acier que nous venons de lire, la poigne de Mrs Danvers et celle de Favell, serrant la gorge de notre innocente narratrice ; pantin dont les ficelles sont depuis le début tirées par le fantôme de Rebecca...
Ce roman est donc absolument troublant et déchirant, véritable traumatisme pour le lecteur, qui voudra lire à la suite de "Rebecca", tous les autres ouvrages de Daphné du Maurier ! Car il ne faut pas oublier qu'elle est l'auteure des "Oiseaux", aussi adapté à l'écran par Hitchcock en 1963, mais aussi de "Ma Cousine Rachel", sorti en 2017 au cinéma. Nous nous retrouvons comme un lecteur invité à visiter ces lieux qui effraient, tout autant qu'ils fascinent. Après tout, qui n'a jamais rêvé de posséder une telle bâtisse, de passer ses vacances en ces lieux séculaires, reliques d'un passé immortel, palpitant encore sous les pas des domestiques, le bruissement des étoffes, le tic-tac de l'horloge, la senteur du thé anglais ? Rebecca s'offre donc comme une invitation au voyage, à laquelle nous aspirons avec gaieté et ingénuité, tout comme notre personnage principal, cette jeune narratrice dont nous ignorons d'ailleurs le prénom ; sans nous rendre compte, si ce n'est que trop tard, que c'est bien l'enfer qui nous attend, derrière les grilles de cette riche propriété... Un enfer amplement relayé par l'appel du large, les flots tempétueux et inquiétants de la mer, les roulements d'écume et les effluves d'eau salée. La mer incarne ainsi un puissant facteur dans ce roman, véhiculant mystères et angoisses, de la psychose même, car nous comprenons à notre lecture, que c'est ici que tout se joue, dans les abysses d'une mer imprévisible et près de laquelle nous nous refusons à approcher ; quoi que dévorés par la curiosité... Une mer sauvage qui emporte avec elle ses secrets et le silence des morts qui ne peuvent plus parler, mais qui sont pourtant bien présents, aussi palpables et envahissants, qu'un être humain sur ses deux jambes. Nous avons donc bien affaire à un bonheur fragile comme du cristal et à un environnement apaisant, dans lequel nous aimerions - mourir - nous reposer à l'ombre des marronniers en fleurs. Mais cette accalmie n'a d'existence que pour mieux dissimuler le drame qui est en train de se jouer et dont nous sentons immédiatement la problématique. Quelque chose n'est pas normal à Manderley, quelque chose ne va pas. Tout y est trop parfait, trop utopique, trop bucolique et il ne peut se cacher sous ces apparences de maison de campagne idyllique, que la fièvre du sang, que l'oeuvre d'un démon, que la honte d'un péché, rien que le meurtre, ni plus, ni moins, barbare et presque injuste, finalement... La fin de Rebecca, quant à elle, se révèle être un véritable choc pour le lecteur, qui en ressort bouleversé ! "J'ai rêvé l'autre nuit que je retournais à Manderley." La boucle est enfin bouclée et la révélation surprenante, suffocante, car elle nous est révélée de manière très succincte, comme si de rien n'était, comme si l'information concernant l'incendie de Manderley n'avait aucune importance ! Celle qui horrifie pourtant un lecteur qui comprend trop tard - tout comme Maxim et sa femme - l'implosion de cette paisible vie d'époux... À la fin de l'ouvrage - mais c'est le cas depuis le début -, la grande demeure anglaise n'est alors plus qu'un brasier. le mariage, aussi bien que le bonheur conjugal déjà fébrile, disparaissent dans les cendres, l'épais nuage de fumée et le crépitement des flammes dévorants tout sur leur passage. le lecteur devra alors relire plusieurs fois les dernières lignes du roman, ne pouvant concevoir que ce chef-d'oeuvre de l'écriture psychologique, à l'instar d'une claustrale pièce de théâtre minimaliste, puisse s'achever de la sorte ! Mais c'est bien un drame à la poigne d'acier que nous venons de lire, la poigne de Mrs Danvers et celle de Favell, serrant la gorge de notre innocente narratrice ; pantin dont les ficelles sont depuis le début tirées par le fantôme de Rebecca...
  • drame
  • suspens
  • mort
  • mer
  • fantome
  • mariage
  • Rebecca
  • complot
  • meurtre
  • Secrets
  • huit clos
  • angoisse
  • Alfred Hitchcock
  • noyade
  • Daphné Du Maurier
  • épouvante
  • 1938
  • roman anglais
Rebecca
Juste pour vous dire que je trouve extrêmement désagréable la petite fenêtre publicitaire vantant un soutien gorge nommé "Rébecca", qui m'offusque, et que je n'arrive pas à effacer...je passerai donc commande à la Fnac ou chez Amazon
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2/5
Lecture assez plaisante mais ne fera pas partie de mes préférés...
Un vieux roman à l’écriture élégante, fluide et "so british". Contrairement à de nombreux lecteurs, je n’ai en rien trouvé que l’atmosphère soit inquiétante voire oppressante. Le récit est très visuel avec tant de descriptions (le manoir et ses pièces, les jardins et la roseraie, la vallée heureuse et les bois sombres, les criques et la mer) que l’on s’y croirait à s’y balader et à humer le parfum des fleurs à profusion sur le domaine. Manderley est un magnifique domaine ! Quant à l’histoire, elle se déroule assez lentement. Pauvre nouvelle Mme de Winter. D’ailleurs, comment s’appelle-t-elle ? Jamais son prénom n’est mentionné, c’est dire à quel point son personnage est peu signifiant durant une bonne partie du livre… Elle est sans cesse confronté au souvenir de Rebecca et ne se sent pas à sa place : elle est trop jeune, n’est pas du même monde, elle n’a pas sa classe et sa beauté, et ne sait en rien diriger une telle demeure. D’autant que les employés et les proches admiraient tant l’épouse disparue. L’attitude de Mme Danvers, la gouvernante, n’arrange en rien son mal-être… J’ai surtout apprécié le dernier tiers du livre où le rythme s’accélère après la révélation de Maxim à sa nouvelle épouse et à la découverte du corps de Rebecca. Là, il y a un peu de suspense et une petite intrigue qui se dévoile. La nouvelle Mme de Winter prend de l’assurance et devient plus présente. Quant à M. de Winter, il s’en sort bien de cette affaire. Par contre, je n’ai pas aimé la toute dernière scène du livre, ce qu’il se passe… quel dommage. Ce livre ne fera pas partie de mes préférés, pourtant sa lecture ne m’a pas déplu.
Un vieux roman à l’écriture élégante, fluide et "so british". Contrairement à de nombreux lecteurs, je n’ai en rien trouvé que l’atmosphère soit inquiétante voire oppressante. Le récit est très visuel avec tant de descriptions (le manoir et ses pièces, les jardins et la roseraie, la vallée heureuse et les bois sombres, les criques et la mer) que l’on s’y croirait à s’y balader et à humer le parfum des fleurs à profusion sur le domaine. Manderley est un magnifique domaine ! Quant à l’histoire, elle se déroule assez lentement. Pauvre nouvelle Mme de Winter. D’ailleurs, comment s’appelle-t-elle ? Jamais son prénom n’est mentionné, c’est dire à quel point son personnage est peu signifiant durant une bonne partie du livre… Elle est sans cesse confronté au souvenir de Rebecca et ne se sent pas à sa place : elle est trop jeune, n’est pas du même monde, elle n’a pas sa classe et sa beauté, et ne sait en rien diriger une telle demeure. D’autant que les employés et les proches admiraient tant l’épouse disparue. L’attitude de Mme Danvers, la gouvernante, n’arrange en rien son mal-être… J’ai surtout apprécié le dernier tiers du livre où le rythme s’accélère après la révélation de Maxim à sa nouvelle épouse et à la découverte du corps de Rebecca. Là, il y a un peu de suspense et une petite intrigue qui se dévoile. La nouvelle Mme de Winter prend de l’assurance et devient plus présente. Quant à M. de Winter, il s’en sort bien de cette affaire. Par contre, je n’ai pas aimé la toute dernière scène du livre, ce qu’il se passe… quel dommage. Ce livre ne fera pas partie de mes préférés, pourtant sa lecture ne m’a pas déplu.
  • Angleterre
  • Ennuyant
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5/5
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