Raid sur Tokyo. 10 mars 1945

Par : Martin Caidin

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages190
  • PrésentationBroché
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN979-10-90134-21-8
  • EAN9791090134218
  • Date de parution22/09/2012
  • CollectionBatailles essentielles
  • ÉditeurLaville (Editions)

Résumé

Le 9 mars 1945 le plus puissant raid aérien fut lancé contre le Japon. A 30 secondes d'intervalle, décolèrent des aérodromes de Guam, Tinia et Saipan, 334 superforteresses avec pour objectif Tokyo situé à plus de 3 000 kilomètres. Malgré les qualités des bombardiers B.29, superforteresses aux équipements de pressurisation, système de chauffage et de tir extrêmement sophistiqués, les vols de bombardement à haute altitude en plein jour avaient coûté un grand nombre de pertes d'appareils et d'équipages dues à la chasse ennemie.
Le général Curtis Le May décida alors d'une attaque de nuit à basse altitude, faisant prendre un risque énorme aux équipages, sur des forteresses chargées à ras bord de bombes incendiaires, sans aucune mitrailleuse de protection. Le général Curtis Le May gagna son pari : les pertes ne furent que de 0,8 %. Dans un grondement de tonnerre, les bombardiers se ruèrent sur la ville basse de Tokyo. Les équipages des bombardiers ne voyaient les rues que sous l'apparence de rivière de feux.
Les hommes à bord ne pouvaient en croire leurs yeux. Ce fut, pour les Japonais, une nuit d'horreur et de mort. En six heures de bombardement, les vagues successives de superforteresses infligèrent à Tokyo des dégâts bien plus considérables en vies humaines et en destructions que les bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki. 35 000 kms² furent détruits et il y eut plus de 100 000 morts.
Le 9 mars 1945 le plus puissant raid aérien fut lancé contre le Japon. A 30 secondes d'intervalle, décolèrent des aérodromes de Guam, Tinia et Saipan, 334 superforteresses avec pour objectif Tokyo situé à plus de 3 000 kilomètres. Malgré les qualités des bombardiers B.29, superforteresses aux équipements de pressurisation, système de chauffage et de tir extrêmement sophistiqués, les vols de bombardement à haute altitude en plein jour avaient coûté un grand nombre de pertes d'appareils et d'équipages dues à la chasse ennemie.
Le général Curtis Le May décida alors d'une attaque de nuit à basse altitude, faisant prendre un risque énorme aux équipages, sur des forteresses chargées à ras bord de bombes incendiaires, sans aucune mitrailleuse de protection. Le général Curtis Le May gagna son pari : les pertes ne furent que de 0,8 %. Dans un grondement de tonnerre, les bombardiers se ruèrent sur la ville basse de Tokyo. Les équipages des bombardiers ne voyaient les rues que sous l'apparence de rivière de feux.
Les hommes à bord ne pouvaient en croire leurs yeux. Ce fut, pour les Japonais, une nuit d'horreur et de mort. En six heures de bombardement, les vagues successives de superforteresses infligèrent à Tokyo des dégâts bien plus considérables en vies humaines et en destructions que les bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki. 35 000 kms² furent détruits et il y eut plus de 100 000 morts.
Samurai!
Saburo Sakai, Martin Caidin, Fred Saito
E-book
0,99 €