Formats :
- Nombre de pages347
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.212 kg
- Dimensions10,9 cm × 18,0 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-36374-045-8
- EAN9782363740458
- Date de parution02/01/2013
- CollectionPulse
- Éditeur13e Note Editions
- TraducteurJacques Martinache
- PostfacierPatrice Carrer
Résumé
Coaché par un curé, c’est derrière les barreaux que Jake commence à boxer. Dès sa sortie, il n’a plus qu’une idée : devenir champion. Il s’entraîne et combat jusqu’au jour où il ne lui manque plus que le titre de champion du monde. Mais le boxing business appartient à la Mafia qui, pour le punir de l’avoir ignorée tant d’années, lui impose de s’allonger devant un adversaire. La rage au coeur, Jake finit par accepter pour accéder au combat qui le sacrera champion.
Ce combat sera celui contre Marcel Cerdan, à qui il prendra le titre de champion du monde des poids moyens en 1949. Après la gloire viendront la chute, la ruine et la prison, l’alcool et les femmes, la drogue. Jake La Motta finira par sortir de ce gouffre sans fond en se lançant dans le métier d’acteur. Une sculptrice qui prenait le moule de ses mains en 1992 a confirmé un détail souligné dans le film de Scorsese : les mains de Jake, petites et délicates, n’expriment aucune violence.
Une caractéristique extraordinaire, compte tenu des coups qu’elles ont assénés, des douleurs qu'elles ont infligées
Coaché par un curé, c’est derrière les barreaux que Jake commence à boxer. Dès sa sortie, il n’a plus qu’une idée : devenir champion. Il s’entraîne et combat jusqu’au jour où il ne lui manque plus que le titre de champion du monde. Mais le boxing business appartient à la Mafia qui, pour le punir de l’avoir ignorée tant d’années, lui impose de s’allonger devant un adversaire. La rage au coeur, Jake finit par accepter pour accéder au combat qui le sacrera champion.
Ce combat sera celui contre Marcel Cerdan, à qui il prendra le titre de champion du monde des poids moyens en 1949. Après la gloire viendront la chute, la ruine et la prison, l’alcool et les femmes, la drogue. Jake La Motta finira par sortir de ce gouffre sans fond en se lançant dans le métier d’acteur. Une sculptrice qui prenait le moule de ses mains en 1992 a confirmé un détail souligné dans le film de Scorsese : les mains de Jake, petites et délicates, n’expriment aucune violence.
Une caractéristique extraordinaire, compte tenu des coups qu’elles ont assénés, des douleurs qu'elles ont infligées