Rafles, déportation et spoliation des Juifs en Charente. (1940 à nos jours) Préface d'Alain Juppé

Par : Gérard Benguigui

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages118
  • PrésentationBroché
  • Poids0.164 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-84654-588-4
  • EAN9782846545884
  • Date de parution20/01/2022
  • CollectionAquitaine
  • ÉditeurINDES SAVANTES

Résumé

Cet ouvrage est la suite du livre publié par G. Benguigui et F. Svensen : La Rafle d'Angoulême, 8 octobre 1942, salué par Serge Klarsfeld. L'auteur s'est attaché à recenser l'ensemble des déportations de Juifs dans le département de la Charente, jusque dans les villages. La spoliation des biens juifs, petits commerçants et artisans dans les villes, voire entreprises connues (Cognac), constitue un deuxième volet "complémentaire" des déportations, leur suite voulue et implacable.
Les compromissions de l'administration de Vichy, des administrateurs et des notaires sont seulement étudiées depuis peu. Le département de la Charente offre ici un exemple de la servilité et de la complicité parfois intéressée de ces organismes vis-à-vis de l'occupant allemand. Plus de soixante-quinze ans après, les restitutions restent dérisoires... Reste la mémoire à entretenir.
Cet ouvrage est la suite du livre publié par G. Benguigui et F. Svensen : La Rafle d'Angoulême, 8 octobre 1942, salué par Serge Klarsfeld. L'auteur s'est attaché à recenser l'ensemble des déportations de Juifs dans le département de la Charente, jusque dans les villages. La spoliation des biens juifs, petits commerçants et artisans dans les villes, voire entreprises connues (Cognac), constitue un deuxième volet "complémentaire" des déportations, leur suite voulue et implacable.
Les compromissions de l'administration de Vichy, des administrateurs et des notaires sont seulement étudiées depuis peu. Le département de la Charente offre ici un exemple de la servilité et de la complicité parfois intéressée de ces organismes vis-à-vis de l'occupant allemand. Plus de soixante-quinze ans après, les restitutions restent dérisoires... Reste la mémoire à entretenir.