Racines célestes : Radiche suprane

Par : Tomas Heuer

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  • Nombre de pages84
  • PrésentationRelié
  • Poids0.53 kg
  • Dimensions23,0 cm × 23,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-907161-62-8
  • EAN9782907161626
  • Date de parution27/10/2001
  • ÉditeurAlain Piazzola (Editions)

Résumé

" Tomas Heuer photographie l'invisible. Il a trouvé le procédé apparemment le plus simple, mais finalement le plus ingénieux : laisser l'invisible se photographier lui-même. Comme il le dit, " Il faut d'abord se faire inviter par l'Arbre ". Puis, dans le silence et l'obscurité propices de la nuit, il lui propose le miroir où son reflet se fixera, un appareil photographique en pause, sensible au subtil, au presque à la luminescence plus qu'à la lumière... Avec pour seule compagnie le renard et la chouette, le photographe et son appareil devenus comme eux nyctalopes, regardent... L'œil magnifié capte la ronde concentrique des planètes, le sillage des astres, la grande pulsation du ciel, tel un organisme géant. L'Arbre cosmique se révèle, il émet cette mystérieuse bio-luminescence du vivant et se découvre tel qu'il est, le médiateur par excellence de la communication entre le ciel et la terre. Devant ces visions infiniment poétiques et parfaitement concrètes, l'observateur attentif sait qu'il fait lui même partie du spectacle. Le culte que rendaient à l'Arbre les civilisations antiques de tous les pays, de tous les continents, nous semble proche et familier. Voilà ce que met sous nos yeux Tomas Heuer dont l'objectif est une fenêtre ouverte sur l'unicité du monde tel qu'il est. " Jacques Brosse
" Tomas Heuer photographie l'invisible. Il a trouvé le procédé apparemment le plus simple, mais finalement le plus ingénieux : laisser l'invisible se photographier lui-même. Comme il le dit, " Il faut d'abord se faire inviter par l'Arbre ". Puis, dans le silence et l'obscurité propices de la nuit, il lui propose le miroir où son reflet se fixera, un appareil photographique en pause, sensible au subtil, au presque à la luminescence plus qu'à la lumière... Avec pour seule compagnie le renard et la chouette, le photographe et son appareil devenus comme eux nyctalopes, regardent... L'œil magnifié capte la ronde concentrique des planètes, le sillage des astres, la grande pulsation du ciel, tel un organisme géant. L'Arbre cosmique se révèle, il émet cette mystérieuse bio-luminescence du vivant et se découvre tel qu'il est, le médiateur par excellence de la communication entre le ciel et la terre. Devant ces visions infiniment poétiques et parfaitement concrètes, l'observateur attentif sait qu'il fait lui même partie du spectacle. Le culte que rendaient à l'Arbre les civilisations antiques de tous les pays, de tous les continents, nous semble proche et familier. Voilà ce que met sous nos yeux Tomas Heuer dont l'objectif est une fenêtre ouverte sur l'unicité du monde tel qu'il est. " Jacques Brosse