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Par : Christian Lacroix

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  • Nombre de pages202
  • PrésentationBroché
  • Poids0.48 kg
  • Dimensions15,5 cm × 22,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-7152-2531-8
  • EAN9782715225312
  • Date de parution25/11/2004
  • CollectionTraits et portraits
  • ÉditeurMercure de France

Résumé

Se promener dans les couleurs et les formes créées par Christian Lacroix, c'est aussi se cogner à ses rêves, ses paradoxes, ses inquiétudes et ses élans. Car s'il possède l'art de la doublure et du secret, du miroitement et du labyrinthe, il possède également l'art de la pudeur et du silence. Du noir au milieu des couleurs. De l'élégance pure au milieu du bouillonnement et de la vitesse. Dehors, la violence, l'or, la beauté, l'insolence, le kaléidoscope du monde. A l'intérieur, le noir et le blanc, la rigueur, la passion. Le rouge. Il faut regarder ses mots comme s'ils jouaient sans cesse avec la mémoire et le temps. Il faut les laisser frôler les tissus, les pierres, les villes, les miroirs, les visages, les recoins de sa pensée. Mots découpés, épinglés, doublés. Mots fétiches pour gestes magiques. Et le temps d'un été, sous nos yeux, avec la complicité d'autres étés passés, s'est bâti peu à peu cet autoportrait en forme de défilé.
Se promener dans les couleurs et les formes créées par Christian Lacroix, c'est aussi se cogner à ses rêves, ses paradoxes, ses inquiétudes et ses élans. Car s'il possède l'art de la doublure et du secret, du miroitement et du labyrinthe, il possède également l'art de la pudeur et du silence. Du noir au milieu des couleurs. De l'élégance pure au milieu du bouillonnement et de la vitesse. Dehors, la violence, l'or, la beauté, l'insolence, le kaléidoscope du monde. A l'intérieur, le noir et le blanc, la rigueur, la passion. Le rouge. Il faut regarder ses mots comme s'ils jouaient sans cesse avec la mémoire et le temps. Il faut les laisser frôler les tissus, les pierres, les villes, les miroirs, les visages, les recoins de sa pensée. Mots découpés, épinglés, doublés. Mots fétiches pour gestes magiques. Et le temps d'un été, sous nos yeux, avec la complicité d'autres étés passés, s'est bâti peu à peu cet autoportrait en forme de défilé.