Qui enseigne qui ?. Pour une pédagogie inverse en philosophie

Par : Raphaël Künstler, Sébastien Charbonnier, Pascal Engel, Caroline Glorie
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  • Nombre de pages154
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.29 kg
  • Dimensions15,4 cm × 23,9 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-35935-293-1
  • EAN9782359352931
  • Date de parution05/12/2019
  • CollectionDidac-Philo
  • ÉditeurLambert-Lucas

Résumé

La réflexion pédagogique a pour objectif de déterminer comment un enseignant peut être le plus utile à la progression intellectuelle de ses élèves. Mais on peut inverser la relation en se demandant si les élèves sont utiles à la progression intellectuelle de l'enseignant, et comment faire en sorte qu'ils le soient On pourrait désigner cette question comme l'enjeu d'une pédagogie inverse, l'enseignant s'éduquant lui-même grâce à ses élèves.
Tout comme la pédagogie, la pédagogie inverse doit prendre en compte les situations d'enseignement. Et cela d'autant plus que la nature de l'enseignement philosophique en lycée encouragerait à nouer un véritable dialogue avec les élèves, favoriserait un certain style de réflexion, conduirait à privilégier des questions, des méthodes et des références déterminées, à acquérir des vertus intellectuelles spécifiques.
Est-ce vraiment le cas ? Telle est la question dont partent les contributions ici présentées et à laquelle elles apportent un certain nombre de réponses stimulantes pour la conduite de la classe de philosophie.
La réflexion pédagogique a pour objectif de déterminer comment un enseignant peut être le plus utile à la progression intellectuelle de ses élèves. Mais on peut inverser la relation en se demandant si les élèves sont utiles à la progression intellectuelle de l'enseignant, et comment faire en sorte qu'ils le soient On pourrait désigner cette question comme l'enjeu d'une pédagogie inverse, l'enseignant s'éduquant lui-même grâce à ses élèves.
Tout comme la pédagogie, la pédagogie inverse doit prendre en compte les situations d'enseignement. Et cela d'autant plus que la nature de l'enseignement philosophique en lycée encouragerait à nouer un véritable dialogue avec les élèves, favoriserait un certain style de réflexion, conduirait à privilégier des questions, des méthodes et des références déterminées, à acquérir des vertus intellectuelles spécifiques.
Est-ce vraiment le cas ? Telle est la question dont partent les contributions ici présentées et à laquelle elles apportent un certain nombre de réponses stimulantes pour la conduite de la classe de philosophie.