Aujourd'hui, on n'invoque l'autorité que pour souligner son absence. Les institutions censées l'incarner - famille, école, justice, État, Église - n'auraient plus la capacité de l'exercer ou de la transmettre et semblent même condamnées à voir leur légitimité décliner. Réhabiliter une réflexion sur l'autorité est une démarche nécessaire. Nulle nostalgie d'un " âge d'or " dans cette volonté puisque celui-ci n'a sans doute en réalité jamais existé.
Les auteurs ont pour ambition de rechercher les nouvelles figures d'une autorité qu'ils distinguent fortement dur pouvoir ou du contrôle social, se souvenant que l'" autorité " est d'abord ce qui " autorise ".
Aujourd'hui, on n'invoque l'autorité que pour souligner son absence. Les institutions censées l'incarner - famille, école, justice, État, Église - n'auraient plus la capacité de l'exercer ou de la transmettre et semblent même condamnées à voir leur légitimité décliner. Réhabiliter une réflexion sur l'autorité est une démarche nécessaire. Nulle nostalgie d'un " âge d'or " dans cette volonté puisque celui-ci n'a sans doute en réalité jamais existé.
Les auteurs ont pour ambition de rechercher les nouvelles figures d'une autorité qu'ils distinguent fortement dur pouvoir ou du contrôle social, se souvenant que l'" autorité " est d'abord ce qui " autorise ".