Quatre jours en mai, deux mois en hiver

((Il y en a qui prétendent que les femmes, c'est tout saintes ou tout putes : eh bien moi je n'ai jamais vu que des femmes, rien que des femmes, qui n'étaient ni l'une ni l'autre ; de vraies femmes, quoi, avec plus ou moins de ceci ou de cela, comme nous tous. (...) Pour le reste, eh bien, à toi de voir. Il y a une belle partie à jouer avec les femmes ; moi, je l'ai jouée et je n'ai eu que du bonheur." Ce roman est en effet un bel hommage rendu aux femmes, à travers trois figures riches de contrastes, mais aussi d'affinités secrètes, sources de rêveries comme de révélations émouvantes : une femme d'affaires intraitable, qui collectionne les aventures avant de se rendre à l'amour ; une patronne tyrannique cédant au pouvoir de l'amitié ; une jeune étudiante cruellement blessée, qui tâche de sortir du cauchemar qu'elle a enduré.
Et face à elles, un homme effaré, qu'elles guideront sur un chemin inattendu. En somme, une histoire d'amour singulière, qui ménage quelques surprises, et qui ne refuse pas l'émerveillement.