Qu'est-ce qu'une nation ?
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- Nombre de pages51
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.048 kg
- Dimensions12,0 cm × 15,5 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-37020-087-7
- EAN9782370200877
- Date de parution10/03/2016
- ÉditeurBerg International
- PréfacierGil Delannoi
Résumé
" L'homme n'est esclave ni de sa race, ni de sa langue, ni de sa religion, ni du cours des fleuves, ni de la direction des chaînes de montagnes. Une grande agrégation d'hommes, saine d'esprit et chaude de cur, crée une conscience morale qui s'appelle une nation ". Voilà comment Ernest Renan (1823-1892) définit l'idée de nation lors d'un discours prononcé à la Sorbonne le 11 mars 1882. Publié pour la première fois en 1887, ce texte eut un fort retentissement au sein de la société française marquée par la défaite de la guerre de 1870 et la perte de l'Alsace-Lorraine.
En avertissant contre les erreurs attachées à la définition d'une nation - comme celles la réduisant à une race, une religion, une langue ou même des intérêts communs - Renan affirme avec force qu'une " nation est une âme, un principe spirituel " et " une grande solidarité " basée sur un héritage commun et un désir de vivre ensemble. A l'heure où les débats sur l'identité nationale ressurgissent en Europe, ce discours de Renan, européen de la première heure, n'a rien perdu de son actualité.
En avertissant contre les erreurs attachées à la définition d'une nation - comme celles la réduisant à une race, une religion, une langue ou même des intérêts communs - Renan affirme avec force qu'une " nation est une âme, un principe spirituel " et " une grande solidarité " basée sur un héritage commun et un désir de vivre ensemble. A l'heure où les débats sur l'identité nationale ressurgissent en Europe, ce discours de Renan, européen de la première heure, n'a rien perdu de son actualité.
" L'homme n'est esclave ni de sa race, ni de sa langue, ni de sa religion, ni du cours des fleuves, ni de la direction des chaînes de montagnes. Une grande agrégation d'hommes, saine d'esprit et chaude de cur, crée une conscience morale qui s'appelle une nation ". Voilà comment Ernest Renan (1823-1892) définit l'idée de nation lors d'un discours prononcé à la Sorbonne le 11 mars 1882. Publié pour la première fois en 1887, ce texte eut un fort retentissement au sein de la société française marquée par la défaite de la guerre de 1870 et la perte de l'Alsace-Lorraine.
En avertissant contre les erreurs attachées à la définition d'une nation - comme celles la réduisant à une race, une religion, une langue ou même des intérêts communs - Renan affirme avec force qu'une " nation est une âme, un principe spirituel " et " une grande solidarité " basée sur un héritage commun et un désir de vivre ensemble. A l'heure où les débats sur l'identité nationale ressurgissent en Europe, ce discours de Renan, européen de la première heure, n'a rien perdu de son actualité.
En avertissant contre les erreurs attachées à la définition d'une nation - comme celles la réduisant à une race, une religion, une langue ou même des intérêts communs - Renan affirme avec force qu'une " nation est une âme, un principe spirituel " et " une grande solidarité " basée sur un héritage commun et un désir de vivre ensemble. A l'heure où les débats sur l'identité nationale ressurgissent en Europe, ce discours de Renan, européen de la première heure, n'a rien perdu de son actualité.